La recherche de vêtements de nuit confortables et polyvalents est commune à la fois pour les hommes et les femmes. Le caleçon parachute, célèbre pour son confort, est une option intelligente pour tous ceux qui apprécient une nuit de sommeil paisible et qui accordent de l'importance au style, même dans la chambre à coucher. Dans cet article, nous allons explorer pourquoi porter un caleçon parachute comme short de pyjama est une excellente option aussi bien pour les hommes que les femmes.
Le caleçon parachute offre une coupe ample qui permet une liberté de mouvement optimale, idéale pour les hommes qui aiment étirer leurs jambes pendant la nuit. Les femmes apprécieront également la coupe du caleçon parachute, qui procure une sensation de confort et permet un sommeil paisible.
Les matériaux légers et respirants des caleçons parachute aident à maintenir une température corporelle confortable, ce qui est essentiel pour dormir au frais. Vous pouvez également bénéficier de la respirabilité des caleçons parachutes, qui évitent la surchauffe pendant les nuits d'été.
Plus de piqûres irritantes qui causent des démangeaisons ou des rougeurs, grâce à l'absence de coutures gênantes. Vous profitez d'une nuit de sommeil sans irritation cutanée, car les caleçons parachutes sont conçus pour éliminer les coutures inconfortables.
Les hommes peuvent associer facilement un caleçon parachute à un t-shirt ample pour un look de pyjama décontracté et tendance. Les femmes apprécieront la polyvalence des caleçons parachutes, qui peuvent être portés comme des shorts de pyjama élégants avec un débardeur ou un t-shirt.
Remarqués sur les podiums des plus grands défilés de mode, les caleçons larges sont devenus particulièrement tendances. Ils se portent aujourd'hui en intérieur comme en extérieur comme shorts d'été dans des looks de plage ou de ville modernes et confortables comme le porte la célèbre icône de mode Chiara Ferragni sur ces photos.
Nos proposons une gamme de caleçons parachute mixtes qui plairont à tous. Nous utilisons des matières naturelles comme le coton et le lin pour vous proposer des shorts légers, confortables et durables.
Dans un souci d'éco-responsabilité, nous sourçons des tissus de haute qualité auprès de stocks dormants de grandes maisons de couture et vintage. Chaque pièce est unique et fabriquée en France par nos soins, dans notre atelier.
Nous proposons des couleurs et imprimés solaires rayés ou fleuris pour vous accompagner chaque jour et égayer vos tenues d'intérieur comme sous-vêtement, short de pyjama ou même en short de plage.
Nos caleçons parachute sont très faciles à entretenir, ce qui convient parfaitement aux personnes qui recherchent la praticité dans leur garde-robe de nuit. Ils peuvent être lavés en machine et séchés rapidement.
En conclusion, le caleçon parachute est une option intelligente pour les hommes et les femmes qui recherchent le confort et le style dans leur tenue de pyjama. Avec ses nombreux avantages en termes de confort, de respirabilité, d'absence de coutures gênantes, de polyvalence en matière de style et ses matières naturelles de haute qualité, il offre une expérience de sommeil inégalée pour tous. Que vous soyez un homme ou une femme, ajoutez le caleçon parachute à votre garde-robe de nuit pour profiter d'une nuit de sommeil paisible et confortable.
Dans un monde où la durabilité et la réduction des déchets sont de plus en plus importantes, le choix des produits que nous utilisons au quotidien peut avoir un impact significatif sur notre empreinte écologique. La gourde en aluminium s'est imposée comme une alternative populaire et respectueuse de l'environnement aux bouteilles en plastique à usage unique. Dans cet article, nous allons explorer les avantages incontestables de choisir une gourde en aluminium.
L'un des principaux avantages de la gourde en aluminium est son impact environnemental positif. Contrairement aux bouteilles en plastique jetables qui contribuent à la pollution plastique, les gourdes en aluminium sont réutilisables et peuvent durer des années. En optant pour une gourde en aluminium, vous contribuez à réduire la production de plastique et à préserver notre planète.
Les gourdes en aluminium sont connues pour leur durabilité exceptionnelle. Elles sont conçues pour résister aux chocs, aux rayures et à l'usure quotidienne. En investissant dans une gourde en aluminium de qualité, vous avez l'assurance qu'elle vous accompagnera longtemps, ce qui peut vous faire économiser de l'argent à long terme.
Malgré leur robustesse, les gourdes en aluminium restent légères et faciles à transporter. Vous pouvez les glisser dans votre sac à dos, votre sac de sport ou même votre sac à main sans vous soucier du poids excessif. Elles sont idéales pour les déplacements, la randonnée, le camping, la plage et toutes vos activités en extérieur comme les sports de glisse.
Les gourdes en aluminium sont résistantes à la corrosion, ce qui signifie qu'elles ne rouillent pas. De plus, elles n'absorbent ni ne retiennent les odeurs, ce qui les rend faciles à nettoyer et à entretenir. Vous pouvez ainsi les utiliser pour différents types de boissons sans craindre qu'elles ne prennent le goût de ce que vous y avez mis précédemment.
Les gourdes en aluminium sont disponibles dans une variété de designs, de couleurs et de tailles. Nos gourdes La Sirène sont sérigraphiées avec une illustration peinte par notre créatrice, emblématique du monde marin et aux superbes tonalités bleues. Leur design en fait un objet artistique qui illumine votre quotidien et vous crée un style unique.
Nos gourdes en aluminium sont dotées d'une isolation thermique qui permet de maintenir les boissons chaudes au chaud et les boissons froides au frais pendant des heures. Cela les rend parfaites pour emporter votre café du matin ou votre eau glacée lors d'une chaude journée d'été.
En conclusion, choisir une gourde en aluminium présente de nombreux avantages indiscutables. Non seulement vous réduisez votre empreinte environnementale en optant pour une solution réutilisable, mais vous bénéficiez également de la durabilité, de la portabilité et de la variété de designs qu'offre ce type de gourde. Investir dans une gourde en aluminium est non seulement une décision écologique, mais aussi pratique et élégante pour rester hydraté(e) en déplacement.
Alors, faites le choix conscient d'une gourde en aluminium et contribuez à un avenir plus durable pour notre planète, tout en profitant de ses nombreux avantages au quotidien. Découvrez notre gourde en aluminium La Sirène ultra pratique équipée d'un mousqueton, qui vous accompagnera dans toutes vos aventures.
- Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m'appelle Paul Lavoine, j'ai 23 ans et je vis à Capbreton dans les Landes. Passionné par l'Océan c'est là que j'y exerce mon métier : photographier et filmer du surf.
- Comment as-tu découvert la photographie notamment aquatique et la réalisation cinématographique ?
C'est lors du dernier Pro France à Hossegor en 2019 que j'ai vu pour la première fois un photographe aller dans l'eau. Étant au début de ma carrière dans la photo et la vidéo et ayant beaucoup nagé par le passé, ça m'a paru comme une évidence. Pour ce qui est de la réalisation cinématographique c'est sur le tas, en montant des vidéos de plus en plus longues que j'ai fini par atteindre la maturité nécessaire à la production d'un film un peu plus poussé.
- D’où vient ta passion pour l’eau et l’océan ?
J'ai passé toute mon enfance et mon adolescence dans une piscine à compter les carreaux. Aller nager a toujours été un exutoire pour moi et m'a permis de me sentir à l'aise dans l'Océan. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été fasciné par cette immense masse d'eau qui abrite tant de merveilles.
- Suis-tu un entraînement spécifique pour réaliser tes images à l’eau ?
Oui pour moi s'entraîner à côté des vagues est super important. J'ai la chance d'avoir un coach, Arthur Bachelet, qui m'accompagne en salle avec des entraînements ciblés sur ma pratique (cardio, endurance et explosivité) et de pouvoir nager avec Thierry Krawiec qui propose des séances axées sur l'apnée active. Ça permet de se sentir plus confiant et d'être plus efficace dans les sessions compliquées.
- Avec quel type de matériel travailles-tu ?
J'ai un boîtier dédié à la photo (Sony A7RIV) et un autre à la vidéo (Sony A7SIII). J'en suis très content car ils ont tous les deux une super qualité dans leur domaine et sont très compacts. Pour les emmener avec moi dans l'eau j'ai un caisson étanche spécialement conçu pour eux de chez Salty Surf Housing.
- Qu’est-ce qui inspire ton art, et comment trouves-tu l’inspiration pour créer de nouvelles images et te renouveler ?
La prise de vue en aquatique n'est pas évidente, on a besoin qu'une multitude de facteurs soient alignés pour réussir à tirer l'image qu'on a en tête. C'est cette complexité qui me pousse à retourner à l'eau afin d'y trouver l'image rêvée. Sinon les eaux transparentes du Pacifiques m'inspirent énormément, elles ouvrent une nouvelle dimension en permettant de capturer des images sous l'eau.
- Quels sont les voyages qui t’ont le plus marqués ?
Mon premier voyage à Tahiti en 2021 a clairement marqué un tournant dans ma vie et dans ma carrière. J'ai tout de suite été séduit par la culture abondante de la Polynésie et par le rapport privilégié des Tahitiens à l'Océan. La richesse des fonds marins et la perfection des vagues sont incomparables et représentent une source d'inspiration sans fin.
- Peux-tu nous partager tes adresses favorites découvertes aux quatre coins du monde ?
Si jamais vous devez aller à Tahiti, passez au moins deux nuits au Tahurai Homestay dans le village de Teahupo'o, c'est un des meilleurs moyen de découvrir cet endroit mythique et sa vague. Pour ce qui est de manger là bas il faut absolument aller au Snack Tavania à Vairao, le poisson cru et le steak y sont incroyables ! À Hawaii sur le North Shore d'Oahu le steak de thon de Lei Lei's à Turtle Bay est vraiment cuit à la perfection et sa sauce inoubliable. Au Portugal si vous allez du côté de Péniche la Churrasqueira Picanha Gaucha vous permettra de manger une des meilleures viandes cuite au charbon de votre vie.
- Quelle est ta photographie préférée et pourquoi ?
C'est dur de choisir ma photo préférée... Certaines sont très importantes pour moi car elles témoignent d'un engagement particulier dans des vagues conséquentes, alors que d'autres ont un caractère artistique bien plus développé. Mais si je devais me prononcer en artiste, mon choix serait entre Other Side #2 et Cloud Escape #1. Je trouve qu'elles ont la capacité de s'adresser à un public qui n'est pas forcément familier avec l'univers du surf.
- Peux-tu nous parler de ton film Liés par L’océan, qui a remporté le prix du meilleur film de la 19ème édition de l'International Surf Film Festival d'Anglet ?
Pendant mon premier voyage à Tahiti il y a deux ans, j'ai eu la chance de rester trois mois chez Kauli Vaast et Tahurai Henry. Grâce à eux j'ai pu faire des rencontres ultra inspirantes qui m'ont donné l'envie de réaliser un documentaire sur les Tahitiens et leur rapport à l'Océan. De là est né mon premier film, Liés par l'Océan, qui met en avant le style de vie de cinq surfeurs et pêcheurs qui vivent dans le petit village de Teahupo'o. Au fil de leurs témoignages on voit se dessiner tout leur amour pour l'eau qui les entoure, les nourrit et les fait vibrer.
J'ai eu l'honneur de pouvoir présenter pour la première fois mon film au Festival d'Anglet ce weekend devant une salle pleine. Ça a été beaucoup de fierté et d'émotion pour moi car ce projet m'a demandé énormément d'investissement, le voir salué par le public et le jury était vraiment puissant.
- Quels messages et valeurs souhaites-tu transmettre à travers ton art ?
Je me situe d'abord en témoin de la beauté que nous offre notre planète et tout particulièrement nos océans. Mon but est d'essayer d'en retransmettre la beauté et la magie le plus fidèlement possible pour les faire découvrir aux gens que ça peut toucher. Au-delà de ça j'aime bien relayer des parcours inspirants qui peuvent nous apprendre quelque chose, surtout quand ils évoquent le respect de notre planète.
- Quels sont tes derniers coups de cœur artistiques et culturels ?
L'année dernière j'ai eu la chance de rencontrer Loïc Wirth avec qui je travaille maintenant sur une petite série aux quatre coins du monde. J'ai tout de suite été séduit par la richesse artistique de son oeil et sa capacité hors du commun à saisir les émotions pour en raconter une histoire. Tout son travail mérite d'être vu mais Iṇaippu illustre bien sa patte artistique.
- Quelle est ta vision du monde d’aujourd’hui et de quoi rêves-tu pour l’avenir ?
Notre monde est vaste, bourré de diversité et va très très vite. Dans cette cohue on gagnerait tous à apprendre à rencontrer l'autre avant de le juger et à prendre le temps d'apprécier les petites merveilles du quotidien. Je rêve donc de voir l'Humanité prendre conscience d'elle même et du risque qu'elle représente pour le monde qui l'abrite...
- Quels sont tes gestes quotidiens pour prendre soin de la terre et de l’océan ?
J'ai toujours un oeil qui regarde là où je pose le pied, et bien trop souvent j'y trouve des déchets plastique que je m'efforce de ramasser. Même si j'aimerai que tout le monde fasse preuve du même réflexe, je pense que c'est dans les mains des institutions que réside le vrai pouvoir du changement. Pour moi il est temps qu'elles agissent concrètement pour la cause environnementale, car elles oublient trop souvent que le système qu'elles défendent jalousement repose sur la planète qui nous héberge.
- Quel est ton mantra qui te guide à travers les étapes de ta vie ?
La vie est courte, unique et donc précieuse. Je m'efforce de la vivre au mieux en essayant d'apprécier chacun des moments qu'elle nous offre. Même si j'ai encore du mal avec ça, j'apprend petit à petit à oublier mon téléphone pour passer mon temps ailleurs que dans mon canapé.
- Et pour finir, quels sont tes projets à venir ?
Ce premier film m'a donné le goût de la réalisation et l'envie d'en diriger un nouveau. Je cherche encore un sujet qui me passionnera autant que le premier, en attendant je m'efforce de suivre le World Tour pour continuer d'étoffer mon portfolio.
Un grand merci à Paul Lavoine d'avoir partagé avec nous sa passion pour la photographie, ses valeurs et ses voyages. Suivez son travail et ses aventures à travers le monde sur son site web, sur Instagram ou encore Youtube.
]]>Pour la quatrième année, ONU Femmes France organise un festival d’engagement féministe qui encourage et promeut les projets en faveur de l'égalité de genre.
Le festival Génération Égalité Voices encourage une diversité d’actrices et d’acteurs à s’engager avec pour objectif de mobiliser le grand public, soutenir l’engagement citoyen et valoriser les associations féministes.
Nous participerons au marché des créatrices samedi 17 Juin de 13h à 18h à côté d'ateliers et de talks 💡
Nous partagerons notre stand samedi avec Maison Aimi 💗
📍 La Cité Fertile, 14 Avenue Edouard Vaillant, 93500 Pantin
RER E Pantin (4 minutes à pieds)
Métro Quatre Chemins – ligne 7 (8 minutes à pieds) et Métro Hoche – ligne 5 (10 minutes à pieds)
Tram 3 Ella Fitzgerald (5 minutes à pieds) Bus 170, 249, 330 arrêt Jean Moulin
Parking à vélo à l’entrée du site - Pas de parking voitures à l’intérieur du site - Parking PMR sur le site ONU Femmes
Nous serons présents sur notre stand samedi 17 Juin de 13h à 18h
Entrée libre et gratuite
Menthe Swimwear, ce sont des maillots de bain premium et durables en fibre recyclée & recyclable. Les créations sont dessinées en France et fabriquées au Portugal.
Nous avons eu un coup de coeur pour cette marque, ses valeurs et son univers, que nous nous faisons une joie de vous partager à travers cette interview.
Peux-tu te présenter et nous parler de ta marque Menthe Swimwear ?
Hello, moi c’est Pauline et j’ai créé il y a deux ans une marque de maillots de bain pour femmes en tissu recyclés. Ma grande passion c’est l’été, et tout ce qui gravite autour ! Les odeurs et les sons de la nature à cette période, ce sentiment de liberté. Je viens de Strasbourg, mais je crois qu’il y a eu une erreur sur mon lieu de naissance. À mon avis je viens plutôt du côté d’Hawaï !
Qu’est-ce qui t’a amené à créer ta propre marque de maillots de bain ?
L’envie de créer quelque chose en alignement avec mes valeurs, de me lancer dans une nouvelle aventure qui me fait clairement sortir de ma zone de confort. Je suis depuis des années des marques de maillots américaines et australiennes qui possèdent un grand choix notamment pour les coupes (taille haute, échancrée) et d’imprimés. La France reste pour l’instant très classique même si ça a tendance à bouger depuis 2 ans. J’ai eu envie de proposer des coupes plus osées tout en associant la notion de durabilité avec les tissus recyclés qui sont encore trop peu présents chez les marques en France.
D’où vient ta passion pour la mode et la création ?
Depuis toute petite j’aime le vêtement en général, mais le maillot de bain a toujours eu une connotation particulière. Le maillot de bain c’est l’été, les vacances, l’insouciance ! Après seulement deux ans d’études dans le secteur de la mode, j’ai tout arrêté car je n’arrivais simplement pas à trouver ma place dans cette filière plutôt spéciale. C’était il y a dix ans et on commençait à peine à prendre conscience des effets dévastateurs de la Fast Fashion avec notamment l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh dans ma dernière année d’études. Suite à ça j’ai fait pas mal de voyages, seule ou avec des amis sans savoir réellement ce que je voulais faire. Ce n’est qu’après la rencontre de Savo mon compagnon, qui m’a réellement convaincu de me lancer dans cette aventure quand il voyait mes multiples passions autour de ce vêtement.
Comment se passe une journée type dans ta vie d’entrepreneuse ?
Un jour sur deux je commence par une séance de course à pied, puis je détermine mes tâches de la journée par ordre de priorité. Si c’est l’été, je prends le soleil dans mon salon et je commence à travailler sur Menthe, je mets à jour mon Instagram, etc. Mon copain m’appelle le tournesol 🌻 Chaque journée est différente, mais globalement je travaille seule de chez moi. Certaines journées sont plus créatives (contenus pour les réseaux, photos, recherche d’inspirations sur Pinterest et dans les magazines) et d’autres moins comme de la comptabilité ou du démarchage. J’essaye toujours de faire passer ma santé et bien-être avant le travail en limitant le stress et l’anxiété qu’apporte ce genre d’activité (pas facile du tout je dois avouer) mais je pense que c’est important de se ménager surtout quand on est seul et qu’on ne voit pas les heures passer.
Qu’est-ce qui t’inspire au quotidien ?
L’été, le soleil, la lumière. J’ai toujours trouvé la saison estivale trop courte, je vis en banlieue parisienne depuis 6 ans, il serait temps que je déménage ! J'aime passer des heures sur Pinterest à regarder des visuels d'architectures, de mode et de typographie. Les œuvres de design graphique m'inspirent aussi beaucoup.
Quelles valeurs souhaites-tu partager à travers Menthe Swimwear ?
Démocratiser la mode éthique, montrer qu’il existe des tas de marques françaises qui fabriquent des produits magnifiques en se souciant vraiment de leur impact environnemental et social. Et pour Menthe plus particulièrement, j’ai eu envie que les femmes osent ! Qu’elles prennent confiance en elle et se sente à l’aise avec un maillot plus sexy que ce qu’elles ont l’habitude de porter sans se soucier du regard des autres. Mesdames, soyez moins dures envers vous-même !
Quels sont tes projets à venir pour la marque ?
Dans l’idéal je rêve de développer une gamme de vêtements d’été amples en matière naturelle (lin, chanvre, coton recyclé) avec des imprimés colorés. J’aime l'aspect irrégulier et imparfait de ces matières, et l’avantage c’est qu’on peut presque toutes les trouver en France ou en Europe.
Quelles sont les destinations à travers le monde qui t’ont le plus marquées ?
L’Indonésie et le Cambodge. J’ai toujours été attiré par les destinations exotiques, ces deux voyages ont été très riches en découvertes et en émotions. Le fait de pouvoir se baigner toute l’année en fait des destinations idéales pour ma part. Je voyage beaucoup moins avec mon copain ces dernières années, pour des raisons financières mais aussi d'impact écologique. On a tellement à faire dans nos belles régions et en Europe.
Et les prochaines sur ta liste ?
J’aimerais beaucoup aller aux Açores, ces petites îles portugaises aux aires de Jurassic Park. Les randonnées et les paysages sont à couper le souffle paraît-il. Et bien sûr peut-être un jour Hawaï, le rêve ultime. J'aimerais y rester longtemps par contre.
Tes adresses préférées (parisiennes ou à travers le monde) ?
Coup de cœur pour le Gumbo Yaya à Paris (Soul Food) oubliez si vous êtes au régime. Et Brasserie Rosie qui revisite les classiques de la cuisine française. Si vous passez par Ubud à Bali, faites un tour au Sweet Orange Warung qui fait un curry à tomber par terre. Le lieu est super mignon et calme dans les rizières hors de la ville. Si vous passez par la capitale du Monténégro, je conseille le Restobar Štrudla, un lieu charmant avec plein des recettes végétariennes et véganes hyper gourmandes.
Quelle place prend l’écologie dans ta vie ?
J'ai été éduqué à ne jamais laisser de trace dans la nature et partout ailleurs. Je suis toujours révolté de voir à quel point certaines personnes jettent leurs déchets au sol, en ville ou à la plage, comme si c'était normal. Rien que dans mon immeuble, beaucoup jettent leurs mégots par la fenêtre sans scrupules. Il y a un sérieux problème d'éducation. L'écologie commence par des gestes simples au quotidien, qui devraient être automatiques. On a plus le droit aujourd'hui de "ne pas savoir", même si ce sont des valeurs qu'on ne nous a pas inculquées dès l'enfance. Tout le monde est responsable.
Quels sont tes petits gestes du quotidien pour protéger la planète ?
Le tri des déchets c'est la base bien sûr. Pour les vêtements, je n'achète pratiquement plus que de la seconde main et j'essaye de garder seulement l'essentiel dans mes armoires comme des basiques bien robustes. Si un vêtement neuf me fait de l'œil, je me renseigne sur la marque et je prends le temps de réfléchir. Je vois si le coup de cœur n'est pas passager, et si c'est vraiment raisonnable. Pour la nourriture, je privilégie toujours des produits français et bio si mon budget le permet. Je ne suis pas une grande amatrice de viande alors c'est facile de l'éviter. Le poisson reste rare dans mon alimentation.
Studio Rivage, c’est quoi pour toi ?
Une marque cool ! J'adore ce qui s'en dégage, la vibe de liberté et de douceur de vivre me touche beaucoup. C'est aussi une marque avec des valeurs qui comptent pour moi comme le respect de l'environnement et son souci d'utiliser des matières responsables. Elle mérite d'être connue.
Ton produit favori de notre marque ?
Le nouveau t-shirt en coton bio La Sirène, j'adore le côté peinture, et le bleu est sublime.
Quel est le mantra qui te guide dans la vie ?
La vie heureuse est celle qui est en accord avec sa propre nature. Prends soin des autres et de toi-même.
Quels sont tes derniers coups de cœur culturels / musicaux ?
Cette année la découverte de Kane Pixels sur Youtube, un artiste VFX dont l'univers pourtant sombre et angoissant me fascine. L'expo du photographe et artiste Thomas Demand aux Tuileries que j'ai adoré, il fabrique des maquettes de scènes historiques ou de la vie de tous les jours en papier, les photographie puis les détruit. Je trouve le processus intéressant et le réalisme des maquettes assez fou. Niveau musique, c'est en perpétuel changement mais en ce moment j'oscille entre musiques calmes pour travailler (Village, musiques de jeux vidéo type Minecraft) et plus dynamique pour courir ou sortir avec de la techno et de la psytrance (Township Rebellion, Filteria, Rødhåd).
Où peut-on retrouver tes créations et suivre tes aventures ?
On peut suivre les aventures de Menthe sur Instagram @menthe.swimwear et retrouver les maillots sur mon site menthe-swimwear.com :)
]]>Le Biches Festival est l'événement musical de l'été en Normandie. Il regroupe les passionnés de musique indé des régions normande et parisienne pendant un weekend festif, ultra convivial et familial.
De nombreux talents sont bookés pendant les trois jours de ce festival indé. Kids Return, Flavien Berger, Cold Lemonade, Nelick, The Toxic Avenger, Fishbach ou encore Braxe + Falcon... Une programmation riche en découvertes musicales.
Crédits photo: @tmphotograph
Découvrez des pépites sur les stands pendant toute la durée du festival ! Créations françaises, vintage, fripes... De quoi découvrir de nouvelles marques éco-responsables et se faire plaisir en soutenant l'artisanat français.
Nous collaborons durant ce festival avec Lison Lisette Brocante. Cette brocante créée par Elise vient d'ouvrir sa boutique à Échauffour (61370), au 5 Grande Rue. Elle propose une sélection pointue de mobilier vintage, décoration, fripes et artisanat local pour votre intérieur et un dressing à la fois stylés et éco-responsables.
A l'occasion du festival Biches, Lison Lisette Brocante vous proposera sur son stand nos créations Studio Rivage. Vous y trouverez également les pépites vintage de sa sélection de fripes, des créations uniques en crochet fabriquées en France, et bien d'autres surprises.
La ferme de Rai, Normandie
9, 10 et 11 juin 2023
]]>Retrouvez nos créations Studio Rivage le weekend du 8 et 9 Avril au pop-up parisien Bande de Créateurs.
Bande de Créateurs c’est le pop-up des marques engagées et cool. Mode, bijoux, maroquinerie, univers enfant, céramique, décoration, mobilier et design, illustrations, produits zéro déchets, food, beauté & bien-être, jeux… de belles découvertes en perspective. Des créations en petites séries, des pièces originales, de la production française et durable, des produits naturels et locaux…
Au programme de ce weekend, plus de 60 créateurs et artisans au savoir-faire unique et portés par de belles valeurs. C’est une offre pour toute la famille que nous vous proposons, sous le signe d’une consommation éthique et responsable. Vous y retrouverez notamment les marques : Maison Aimi, Esquisse Lingerie, Ninisea, Huit Avril Céramique, Almma Paris... et bien d'autres créateurs.
Ambiance musicale et DJ Set 🎵, Cocktail party 🍹 et espace bar pour se restaurer 🍩
📍Samedi 8 & Dimanche 9 Avril 2023
Bastille Design Center
74 Boulevard Richard Lenoir - Paris 11e
M° Richard Lenoir ou St Ambroise
🕙 Samedi 10h – 20h
Dimanche 10h -19h
Entrée libre et gratuite
]]>Sa coupe large à capuche et poche kangourou intégrées vous permettent de vous abriter du vent après votre session surf. Ainsi, vous vous séchez confortablement et restez bien au chaud, tout au long de l'année.
Nos ponchos de surf sont designés de façon à flatter toutes les silhouettes. Leur coupe unisexe convient à la majorité des gabarits, pour elle et lui. Notre stylisme associe des imprimés vintage à une coupe ultra confortable pour en faire une création unique, au style mémorable.
Difficile de se changer à l'abri des regards avec une serviette de plage traditionnelle. Avec le poncho de surf, vous pouvez vous changer discrètement sous votre poncho. Fini les moments d'inconfort au moment de se rhabiller.
Soutenir l'artisanat français n'a jamais été aussi simple. Chez Studio Rivage, nous vous proposons des créations upcyclées cousues en France par nos soins dans notre atelier. Les ponchos de surf sont conçus pour durer et vous suivre dans toutes vos sessions à travers le monde, sur vos spots préférés.
Nous sélectionnons pour nos créations upcyclées des matières naturelles de haute qualité. Les tissus proviennent de stocks dormants vintage ou de grandes maisons de couture. Ainsi, nous évitons la création de nouvelles matières, première source de pollution dans l'industrie textile. La revalorisation de matières textiles permet de leur donner une seconde vie en leur créant une nouvelle fonction, dans une dimension toujours plus éthique.
Enfin, votre poncho de surf peut s'utiliser durant vos sessions glisse mais également hors saison en intérieur, notamment en sortie de bain. Quoi de mieux que de pouvoir se lover bien au chaud après la douche dans un peignoir ou poncho en serviette bien enveloppant !
Découvrez vite notre collection de ponchos de surf mixtes et upcyclés, disponible en ligne sur notre site.
]]>L'upcycling, ou surcyclage, c'est transformer un produit pour lui donner une seconde vie. On réinvente le produit en le détournant de son usage premier. Ce procédé prend de plus en plus d'ampleur dans un souci de développement durable. En effet, l'industrie de la mode est l'une des plus polluantes et la création de nouveaux tissus engendre un impact environnemental. Il existe aujourd'hui de nombreux stocks de tissus dormants auxquels nous pouvons redonner une seconde vie.
Nous créons des pièces upcyclées à partir de tissus dormants, à la fois vintage mais aussi issus de grandes maisons de couture. Chaque tissus est sélectionné avec soin pour proposer des créations de grande qualité. Ce processus créatif est long et minutieux de par les contraintes techniques des tissus, matériaux et imprimés choisis.
Nos créations issues de l'upcycling sont faites en France dans notre atelier. C'est notre créatrice qui prend soin de coudre chacune de nos créations à la main. Chaque pièce est unique et créée à la demande afin d'éviter toute surproduction.
Nous mettons tout notre coeur à réaliser des créations uniques pour vous accompagner chaque jour. Elles sont faites pour être aimées, portées et transmises durablement.
]]>D’où viens-tu et que fais-tu dans la vie ?
Je viens d’un joli village malgache au bord du grand lac Rasoabe qui s’appel Manambato, et je suis DJ/Producteur.
D'où vient ta passion pour la musique ?
J’ai commencé la musique juste après l’école primaire lorsque j’ai découvert qu’il y avait pas mal de musiciens dans la famille. C’est ce qui m’a permis de voir commencer faire et de commencer.
Comment définirais-tu ton style musical ?
Je n’ai pas vraiment de style musical, c’est souvent contradictoire, ça varie selon le titre. Ce qui est sûr c’est je fais de la musique électronique.
Quels sont les moments qui t'ont le plus marqué dans ta carrière d'artiste ?
Pratiquement toutes les scènes où j’ai pu jouer, particulièrement l’Elektric Park à Paris et l’Amsterdam Dance Event qui étaient deux formidables évènements auxquels j’ai pu rencontrer du monde.
Tes plus beaux voyages, c'était où ?
Depuis que je suis arrivé à Paris en 2016 c’est sans aucun doute Madagascar.
Qu’est-ce qui inspire ta musique ?
Mes émotions et les différents événements qui se déroulent dans ma vie.
Une journée type dans ta vie ?
Réveil, Douche, Métro, Studio, Manger, Studio, Métro, Manger, Dodo.
Tes gestes éco-responsables pour protéger la planète au quotidien ?
Le tri, évidement. On peux également additionner les petits efforts comme : ne pas avoir de voitures, avoir arrêté de fumer. Chez moi c’est CO2 free.
Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
Un joli t-shirt blanc en coton éco-responsable avec une mignonne petite impression sur la poitrine.
Ton print favori ?
J’hésite entre Sunset Lover ou Island Girl ! Aka la jolie fille des îles.
Tes derniers coups de cœur musicaux / artistiques ?
Alors en ce moment, selon Deezer, j’écoute Zhu - Only ft. Tinashe en boucle. Aussi loin que remonte mes souvenirs cela fait plus de 3-4 mois que je dévore ce morceau.
Peux-tu nous parler de tes projets en cours et sorties à venir ?
Actuellement, je me laisse porter par les vents. Mes prochaines sorties musicales peuvent voir le jour à tout moment.
Et pour finir, quel est ton mantra dans la vie ?
Je fais de mon mieux et je souris à tous ceux que je croise sur mon chemin.
Un grand merci à Zalenn d'avoir partagé aves nous sa passion pour la musique. Il sera en tournée en Novembre 2021. D'ici là, retrouvez-le sur Instagram @zalennsounds, et écoutez ses titres sur toutes les plateformes !
]]>Tu es l'autrice du livre "Osons panser le monde par l'amour". Peux-tu nous raconter ton parcours jusqu'à son écriture et ce qui t'en a inspiré ?
Osons panser le monde par l’Amour, est un partage. Ce premier livre est un voyage à travers les mots, pour mieux retrouver le chemin du coeur. Il est un témoignage, que j’ai chargé ces cinq dernières années, d’une sincérité lumineuse, d’une vulnérable force, et d’une généreuse fragilité. Il est une invitation, à l’Amour, à la bienveillance à soi, aux autres, à la Terre Mère, afin de questionner justement le Sens, comme valeur, et direction à prendre. Ce livre est un constat : on ne peut espérer contribuer durablement à la paix avec le vivant, tant que l’on est en conflit intérieur avec soi-même. Actuellement à la mise en page en Maison d’Édition, il verra le jour en version papier, à la fin de l’Été 2021 !
Extrait de son Livre :
“Vous voyez la douceur que l’on ressent quand se pose délicatement sur notre peau un rayon de soleil ? Ce même rayon qui éveille en nous une émotion pure, celle d’exister dans l’instant, d’apprécier un élément simple de l’univers, de se ressourcer naturellement par la nature, saisi par la merveilleuse sensation d’un regain de courage, d’espoir ; touché humblement par l’Amour. L’Amour, je l’écris avec un grand A, il s’agit de l’Amour que l’on se porte à soi, aux autres, à la Terre Mère. C’est cette même sensation que j’aimerais vous faire ressentir à la lecture de ces mots, au rythme des pages. Que ce livre soit votre rayon de soleil, celui que vous posez sur votre table de chevet. Que ce livre réchauffe votre cœur après une journée plus grise que les autres, qu’il éveille vos pauses au travail, qu’il illumine vos réveils, qu’il inspire vos projets, qu’il motive votre cœur, à aimer, à aimer ceux qui vous entourent, à aimer la planète qui nous abrite.”
Tu es aujourd'hui professeure de yoga. Que souhaites-tu transmettre à travers cette pratique ?
J’avais 19 ans, que je me retrouve à Bali, diplôme en main, professeure de Yoga certifiée. Ce choix m’a apporté tant de joie, les mots à eux seuls ne peuvent en décrire la reconnaissance que je ressens aujourd’hui. Le Yoga m’a appelé. Il a été un cadeau, dans une période compliquée. Je venais d’arriver à Paris pour mes études supérieures, j’intégrais Sciences Po en Post-Bac. J’étais à 10,000 km de la maison, de ma famille, et de mon île, Maurice. La claque a été radicale. Je perdais l’équilibre, en recherche constante de Sens, afin de justifier ma présence géographiquement parlant, et mes choix d’orientation. Je ne savais plus. J’avais l’étrange sensation de me perdre moi-même, quand, j’ai compris qu’il me fallait assumer ma différence, mon histoire, et ma sensibilité.
L’environnement naturel, et l’Océan, me manquaient tellement, j’ai orienté mon parcours à Sciences Po vers les Politiques Environnementales, dont je termine aujourd’hui le Master. Aussi, l’éveil intérieur était urgent, il me fallait rétablir une relation saine à mon corps, mon coeur et mon esprit, quitter le cercle vicieux de l’alimentation émotionnelle, du silence, du repli. J’ai accueilli le Yoga, il m’a accueilli en retour. J’avais 19 ans, je rejoignais une école de formation australienne, Yoga Alliance Certified, à Bali. Quelques semaines plus tard, je rentrais à Paris, un coeur chargé, j’étais à ma place. Je n’avais plus peur d’être celle que j’étais, même à contre-courant parfois. J’assumais petit à petit mon Amour pour les détails, pour les couleurs, les jolis mots, le bien-être et le Coeur, la Nature et le Soleil, le sel dans les cheveux, les vagues (…) Le Yoga m’a permis d’accueillir la version la plus sincère et épanouie de moi-même, que j’avais laissé au lycée, que j’avais oublié dans la grisaille parisienne des premiers mois. Aujourd’hui, j’ai 22 ans. J’enseigne avec une joie immense.
Le Yoga est un retour à Soi. Une séance de Yoga partagée est un instant d’humilité, là où nos forces et faiblesses s’accompagnent, en pleine conscience, en grande douceur. Le Yoga est une retour à l’Instant. Sur notre tapis, nous sommes. Là. Je ne suis pas ailleurs, mon corps en mouvement, ou posé, et ma respiration engagée invitent mon esprit à un ancrage dans l’Instant Présent. Dans le courant de nos vies trépidantes, dans les ombres de nos émotions éparpillées et trop souvent refoulées, nous oublions le Présent. Le Yoga donne de la valeur à cet instant, finalement seule vérité. Je souhaite développer encore ce chemin du partage de la pratique du Yoga, et porter autour de moi l’encouragement envers tout un chacun, afin de faire naître, renaître, sa Lumière intérieure. Le Yoga se vit dans une grande intimité, il n’est pas une démonstration, un spectacle, il ne se regarde pas. Le Yoga est une célébration intérieure, un cadeau à Soi.
Le 30 Mai, tu as lancé le projet #ISpeakBlueToo dédié à la protection de l'océan. Peux-tu nous en parler davantage ?
Avec immense plaisir ! Nous sommes en 2018 quand je crée la première édition de la campagne #IspeakBlueToo sur les réseaux sociaux. Je suis à Paris, loin de l’Océan, la journée du World Oceans Day, le 8 Juin approche, et je souhaite porter ma voix. Puis, une idée s’impose. Et si, indépendamment de notre lieu de vie, de nos langues d’origine, nous levions notre voix ensemble, une voix unie pour l’Océan, une voix bleue universelle. Nous dépendons tous, d’une façon ou d’une l’autre, de l’Océan. Il est l’air que nous respirons, l’abri de la biodiversité que nous admirons, il est notre terrain de jeu pour glisser, il est notre inspiration artistique, il est notre source d’énergie, il est notre plus intime partenaire de bien-être et de relaxation (…) Il est, pour chacun, ceci ou cela. Nous sommes alors, tous, responsables de sa préservation, de sa santé.
L’édition 2018 était merveilleuse. L’édition 2021 s’annonce grandiose. Des centaines de voix bleues, vont se lever. Les mots ensemble vont être portés, au-delà des frontières, courants et marées. L’inspiration est une condition à la prise de conscience. La prise de conscience est capitale au changement de comportements, aujourd’hui urgents, vitales.
Nous portons tous une part de responsabilité, à chacun sa goutte d’eau, ensemble un Océan. En quelques clics, nous avons le pouvoir individuel de rejoindre un mouvement international, indépendant, visible, inspirant. Le format est simple. Une photo portrait avec une pancarte “#IspeakBlueToo BECAUSE” et 50/100 mots en description afin de répondre à la question : Why do your care about the Ocean ? Ça a commencé le 30 Mai, jusqu’au 8 Juin 2021, en soutien au World Oceans Day !
D'où vient ta passion pour l'océan et les sports de glisse ?
Je suis une enfant du grand bleu, c’est comme ça. Je suis née sur la côte d’Opale, dans le Nord de la France. Je suis un peu née en bord de mer, dans une famille de riders, sur vagues, au vent, sur sable, amoureux de la glisse, et de l’Océan. Je ne pourrais cesser de remercier mes parents, frère et amis d’ici et de là, pour leur Amour pour le grand large, les récifs et lagons, les vagues et mousses blanches. L’Amour pour l’Océan naît à l’intérieur, mais son intensité s’en trouve démultipliée quand partagé. Puis, nous avons quitté la France en Famille, direction une nouvelle vie : l’Ile Maurice. Cette nouvelle page, elle aussi, s’est chargée de bleu. L’Océan était mon jardin secret, tout autant qu’il était mon terrain de jeu. En rentrant du collège, c’est à ses côtés que je souhaitais célébrer la fin de journée. J’ai appris son langage, à la rencontre des vagues. Depuis, je n’ai arrêté de Surfer. Et je ne cesserai jamais, le Surf est d’une grande préciosité dans ma vie. Paris, en me rapprochant de toi, j’ai quitté les récifs, passant de la barrière de corail au périph’. Je me suis perdue, mais rapidement, j’ai compris, que je devais y retourner, à l’Océan, pour me retrouver moi-même. En quelque sorte, l’Océan m’a sauvé, il m’a guidé.
Dès le Collège universitaire à Sciences Po, les premiers mois à Paris auront suffi pour me rappeler la mission qui était la mienne, retrouver l’Océan afin d’en préserver sa richesse, et contribuer à sa protection. Ainsi, j’ai, tout au long de mon parcours à Sciences Po, orienté mes travaux de recherche et le choix des enseignements autour de la question bleue, aussi inspirante et passionnante que grave et déterminante. En 2018, j’ai eu l’opportunité de porter ma voix à l’ONU en tant que Ocean & Climate Youth Ambassador, représentant l’Ile Maurice, île de mon enfance, pour y discuter l’objectif 14 “Vie Aquatique”, de l’Agenda 2030 pour le Développement Durable. Puis, les eaux calédoniennes, indonésiennes et polynésiennes ont éveillé mon attention, j’y rejoins des missions d’engagement sur le terrain et expériences de stage.
Plutôt long board ou short board ?
Cette question est bien trop difficile. Je ne suis pas sure d’être en mesure de répondre ! (Hihi !) Je vibre à la douceur, au flow, au confort, et à la glisse de la Longboard, quand je porte une joie immense, une excitation sincère et une grande énergie, au rythme et aux courbes, de la shortboard, quand les ailerons rencontrent l’Océan.
Tes spots de surf favoris ?
Ils sont nombreux, je n’ai pas un unique spot favori. Quand je suis à l’eau, toutes les sessions auront connu leur lot de bonheur. Enfin, je vous passe les peurs, les moments de panique, à vouloir suivre mon copain dans la houle de Teahupoo à Tahiti, ou de Impossible Beach en Indonésie. Là, je ne faisais pas la maligne. Je n’ai pas de spot favori, mais les spots suivants on retenu mon coeur : Bingin à Bali, Byron Bay en Australie, La Sud d’Hossegor en France, Waikiki à Hawaii, Papara à Tahiti, Haapiti à Moorea, et évidemment, la maison, Tamarin à Maurice.
Les destinations à travers le monde qui t’ont le plus marquées ?
J’ai eu la chance de voyager très jeune, avec ma famille. Mon frère et moi, étions deux petits êtres aux cheveux blonds, mais à la peau mate, dès notre plus jeune âge. Nous avons presque toujours suivi l’Océan, à la rencontre des éléments, dans l'Océan Indien, dans les Caraïbes, ou en Afrique du Nord. Nous avons notamment traverser toutes les petites Antilles en 2011 en Catamaran en famille, pendant 3 mois, merveilleuse expérience de vie à la rencontre de la Nature et à la valorisation de l’Instant présent, et du Partage. J’ai gardé ce goût du voyage, de l’aventure, de la rencontre. Ça fera toujours partie de moi. Toutefois, le contexte Covid que nous connaissons, et les enjeux climatiques auxquels contribue notamment le transport aérien, titillent mon esprit : et si, on voyageait autrement ?
Maurice est un bijou sur cette Planète (en toute objectivité !), une île chargée de couleurs et de chaleur humaine, dans un cadre idyllique, de même que la Polynésie Française. J’ai découvert le Pacifique et ses trésors naturels ces dernières années, et ces lieux encore magiques sont à préserver car grandement fragiles, et d’une beauté unique. Je porte l’Indonésie, notamment Bali, très près de mon coeur, pour y avoir passé de nombreux Étés en famille, y avoir fait ma formation de Yoga, et rencontré de merveilleuses âmes, entre les shalas et les vagues. Évidemment, les good vibes australiennes et hawaïennes ont aussi inspiré mon coeur, et ces séjours étaient chargés de Bonheur. Je me plait grandement aussi, dans les cultures multicolores, aux sonorités chaleureuses, j’ai adoré l’énergie de la Thaïlande, les bleus denses du Maroc, et la sangria espagnole dans les ruelles de San Sebastian ! En France, la côte Sud-Ouest porte mon coeur.
Quelles icônes te font rêver et te motivent depuis l'enfance ?
La foi de Bethany Hamilton, l’audace de Emma Watson lors de la campagne #HeForShe, l’Emerveillement de Matthieu Ricard, la douceur de Gabriella Wilde dans le rôle de Jade Butterfield dans le film Endless Love, l’engagement sincère à vie de Sylvia Earle, le courage de Malala Yousafzai, la justesse des mots de Frédéric Lenoir, les paroles de Jiddu Krishnamurti et l’Esprit d’aventure de Sarah Marquis.
Qu'est-ce qui t'inspire au quotidien ?
L’amour, porté à soi, aux autres, à la planète. Quand on y réfléchit bien, est-ce que ce n’est pas tout ce qui compte ? Nous sommes des poussières d’étoiles, de passage, ou en renaissance, ou pour une durée déterminée. Quoique soient nos croyances, nous sommes là, et nous avons tout intérêt à faire de cette vie une vie d’Amour. Elle sera tellement plus jolie. C’est un choix que nous tenons entre nos mains, à l’ouverture de nos coeurs. Il ne faut plus avoir peur, honte, de ce mot, sa célébration m’inspire. Célébrer l’Amour, n’est-ce pas une célébration de la Vie ? Je fais ce choix de l’Amour.
Quelle place prend l’écologie dans ta vie, et quel lien fais-tu entre écologie et écologie intérieure ?
Une très grande place, c’est mon combat quotidien, intérieur et extérieur. C’est mon parcours d’études, je termine mon Master de Politiques Environnementales à Sciences Po Paris. Ce sont mes engagements professionnels, je fais partie du programme “Action for the Oceans” et j’ai initié le mouvement #IspeakBlueToo, crée en 2018. La préservation de la Terre Mère est ma raison d’être. J’aime me rappeler cette intuition perçue un jour, celle d’être ici en tant que messagère. Alors, je porte mon message. Je porte un message par les mots, notamment sur les réseaux sociaux, et par l’intermédiaire de mon livre, publié à la fin de l’Été. Je me sens l’énergie de dire haut la beauté naturelle qui nous entoure, d’inciter le rétablissement de ce lien éthique, entre l’Homme et la Nature. Il est pour cela essentiel d’oser le changement de regard, hier anthropocentré, aujourd’hui celui d’équité. La nature n’est pas un stock, un capital, une possession, il s’agit ici d’une collaboration. Je porte la conviction intime qu’un nouveau modèle n’est possible qu’à la condition d’une prise de conscience individuelle, que j’appellerai ici “éveil”, la considération de son être propre, la bienveillance nécessaire à soi, aux autres, à la Terre, afin de questionner justement le sens, comme valeur, et direction à prendre. Prendre soin de son jardin intérieur, de cette écologie intérieure, est une condition essentielle, première, à la Paix avec l’extérieur, les autres, le vivant, et donc, à la préservation de la Terre.
J’ai une assiette que je pense juste pour la planète (et ma santé, et le vivant), je suis Vegan depuis quelques années déjà, et cette décision m’apporte beaucoup de joie, et une paix intérieure sincère. Je privilégie les sources d’approvisionnement biologiques et locales. J’essaie de limiter ma consommation, dans son ensemble, de consommer moins, mais mieux. Je privilégie les matières naturelles et durables, notamment pour les vêtements (Hello, Studio Rivage !) et j’essaie de limiter au maximum ma consommation de plastique, surtout celui à usage unique (Oust!). Je m’engage, je dis, je porte ma voix et j’investis mon temps pour les causes qui me semblent justes. Pour ce qui est des déplacements et transports, ça se complique. J’ai grandi comme une enfant du monde, avec de nombreux ports d’attache, donc, j’ai pris l’avion de nombreuses fois. Avec la situation actuelle, et l’évolution de mon parcours, et pour les étapes de vie à venir, j’aspire à m’ancrer davantage, et privilégier la qualité à la quantité.
Studio Rivage, c’est quoi pour toi ?
En quelques mots, je dirais, “Doux à porter, beau pour rêver, et respectueux de la Terre Mère.”
Ton print favori ?
La nouvelle Surfer Capsule vend du rêve, c’est une invitation à retrouver encore et encore, la vague, le soleil et les good vibes !
Quel mantra t'accompagne jour après jour dans la vie ?
Je porte cinq petits mots sur mon coeur : le respect, la bienveillance, la liberté, la gratitude et l’Amour inconditionnel. Ils font partis de mes bagages, où que j’aille. Je fais en sorte que toujours ils m’accompagnent. Je pense que la Gratitude porte un super pouvoir encore sous-estimé. La reconnaissance pour les détails de la vie : un sourire, un merci, une couleur, un rayon de soleil, une fleur, un mot. Tout cela me remplit de joie, et j’aime le reconnaître, le dire, le ressentir. J’aime les Mantra de Gratitude.
Quels sont tes derniers coups de coeur culturels / musicaux ?
Dernièrement, le nouveau court-métrage Voyager | Short Film de Emmett Sparling m’a donné des frissons. Aussi, mon coeur s’est chargé d’émotion à l’écoute de la chanson "Mesdames", de Grand Corps Malade. Sans grande objectivité peut-être, mais avec immense sincérité, la nouvelle chanson de mon frère “Aujourd’hui” fait valser mon coeur @isambourg.theo. Mes dernières lectures ? Deux petites merveilles. D’abord, D’un monde à l’autre, le temps des consciences, de Frédérique Lenoir et Nicolas Hulot. Également, Fort comme un hypersensible de Maurice Barthélémy.
Où peut-on suivre tes aventures ?
On se retrouve sur Insta avec plaisir, @eveisambourg. Et pour lever votre voix bleue pour l’Océan, c’est par ici, @ispeakbluetoo.
]]>D’où venez-vous et que faites-vous dans la vie ?
On a grandi ensemble en région parisienne, dans le Val-d’Oise pour être précis ! Là où commence la campagne pour certains de nos potes parisiens ! Puis on a eu la chance pour nos études d’aller faire un tour un peu partout et nulle part à la fois, voir ce qu’il se faisait ailleurs. Aujourd’hui, on est de retour dans le Val-d’Oise où on habite à 200m l’un de l’autre, et on bosse chacun de son côté sur Paris !
Comment est né le projet Pinea Skateboards ?
C’est un projet qui a toujours été là, sous nos yeux ! Petits, on sillonné les rues de notre ville en skate ou en roller, à la recherche d'un bon spot. On a grandi ensemble autour d’une influence commune, celle des sports de glisse. Créer quelque chose autour de tout ça a toujours été un sujet de discussion, pour contribuer à notre façon à cet univers qui nous apporte tant.
Fans de glisse depuis toujours et un peu touche-à-tout, on a un jour décidé de se lancer dans la fabrication de notre skate, celui dont on rêve mais qui est impossible à trouver en magasin. On a eu envie de revenir aux classiques, en renouant d’une certaine manière avec la simplicité des premiers skates. Parce qu’au fond nous aussi, on aurait aimé pouvoir skater les piscines vides de Californie à l’été 75 !
Plus concrètement, c’est à l’été 2016 et après plusieurs heures de boulot qu’on a enfin roulé avec notre propre skate. Entre choix de vie et impératifs, on a gardé tout ça de côté pour finalement déballer les cartons de ce projet quelques années plus tard, pour se lancer fin 2019 !
D'où vient votre passion pour les sports de glisse ?
Difficile à dire ! Depuis tout petit, on a chacun eu la chance de passer nos vacances au bord de l’océan ou à la montagne, là où on a découvert le surf et le snowboard. Puis adolescent, on avait une bande de potes avec laquelle on passait nos après-midis au skatepark, tentant désespérément de rentrer des tricks. En regardant un peu en arrière, c’est vrai qu’on a toujours évolué dans cet univers, aux influences diverses avec des films comme Les Seigneurs de Dogtown ou encore des musiques par Jack Johnson ou Ben Harper !
Vos spots favoris pour rider ?
On a eu l’occasion de faire plusieurs road trips en longboard, en longeant la côte entre le Médoc et La Vendée. Alors rien que pour ces road trips inoubliables, on a envie de dire ce coin-là, quelque part perdu au milieu des pins. Mais un bon spot, c’est avant tout en endroit pour se retrouver avec ses potes !
Vos plus beaux road trips, c'était où ?
Sans hésitation la Nouvelle-Zélande ! On a eu la chance de se retrouver tous les deux sur cette île au parfait opposé de la France pendant un mois en 2019. On a quadrillé l’ile en van, c’est cliché mais ça reste certainement l’un des meilleurs moyens pour découvrir la Nouvelle-Zélande et pour aller se perdre dans des endroits insoupçonnés… Randonnées, skate, surf, sans oublier les moutons à perte de vue ! C’était magique, une ambiance singulière, comme hors du temps.
Où seront vos prochains voyages ?
Absolument aucune idée ! Puisque la question ne se pose pas, on a vraiment mis ça de côté pour l’instant. Parce que oui, à toi lecteur du futur, sache que nous sommes en 2021 au moment où ces quelques lignes sont écrites et que l’on profite d’un confinement pour rattraper les quelques séries en retard !
Les icônes qui vous font rêver depuis l'enfance ?
Il y en a tellement qu’on pourrait commencer une liste infinie ici ! Il y a des noms qui restent, qui traversent les âges et les époques. Jay Moriarity en fait partie, surfer surdoué et amoureux de la nature. Il y a aussi les légendaires Z-Boys, qui ont participé à la naissance du skate moderne. Puis il y a toute la pop culture qui t’influence quand tu es petit : comment ne pas se souvenir des journées entières passées devant une TV cathodique, manette de PS1 dans la main, sur laquelle on jouait à Tony Hawk's Pro Skater !
Qu’est-ce qui vous inspire ?
Ceux qui essayent, qui tentent des choses en dépit de ce qu’on peut leur dire ! Ça peut fonctionner ou pas, mais c’est cool de tenter ce qu’on a envie de faire, d’essayer d’apporter sa propre vision à quelque chose qui nous tient à cœur.
Une journée type chez Pinea ?
Poncer, poncer, poncer… ! Blague à part, on est tous les deux « monsieur tout-le-monde », si ce n’est qu’on intègre un peu de notre passion dès qu’on en a l’occasion. Ce qu’on fait avec Pinea, ça nous permet de se retrouver, de passer de bons moments à refaire le monde ! Un réveil relativement tôt, un café et un crochet obligatoire à la boulangerie avant d’aller donner vie à ce bois qui nous fascine tant !
Vos bonnes adresses à Paris et dans le Sud-Ouest ?
Les bonnes adresses, c’est comme les bons spots, on en parle mais pas trop fort… Sur Paris, ce n’est un secret pour personne mais il y a évidemment La Surferie, lieu de rendez-vous incontournable – en espérant qu’on puisse y retourner un de ces jours, ils doivent manquer à pas mal de monde ! A Bordeaux, Ours Café est toujours un bon plan. Plus proche de l’océan, on n’oubliera pas le Barik Surf Shop à Montalivet pour se ravitailler en wax avant une session, et le bar Chai Simone pour une bière après la session !
Quels sont vos gestes éco-responsables pour protéger la planète au quotidien ?
Des petits gestes simples que l’on connait tous aujourd’hui : marcher 10 minutes plutôt que de prendre sa voiture, trier ses déchets, manger des fruits et légumes de saison, accommoder ses restes, ramasser un déchet qui traine pour le mettre dans la prochaine poubelle que l’on croise, etc. Une habitude quotidienne ? Le shampoing solide, c’est parfait et on limite le plastique !
Globalement, et sans rentrer dans un discours moralisateur, on est convaincu que chacun peut agir à son échelle au quotidien. C’est avant tout une question de bon sens. C’est ensemble et petit à petit qu’on arrivera à changer les choses, on l’espère. Et pour les initiatives qui méritent à être connues, on retiendra Trshbg pour les surfeurs, pour ramasser les quelques déchets flottants en attendant que la série arrive !
Studio Rivage, c'est quoi pour vous ?
Une belle initiative qui appartient à un mouvement grandissant, et c’est tant mieux ! Avec Studio Rivage, Anaïs ne reste pas les bras croisés mais participe à sa façon au changement que l’on attend tous, en proposant des vêtements éco-responsables en coton bio ! Ce n’est pas un magasin avec 1000 références (et ce n’est pas le but d’ailleurs), mais ça peut déjà faire une différence. C’est à chacun de soutenir ce genre de projets, dans l’intérêt de tous. Aujourd’hui, des alternatives se montent dans tous les domaines. Un surf Made In France ? Allez faire un tour du côté de MaxShapeSurfboard ! Des shampooings solides ? Regardez chez Bélice !
Votre print favori ?
On a envie de répondre le Night Rider parce skate oblige, mais on a clairement une préférence pour l’Island Girl ! Un petit côté hippie qui donne envie de ralentir un peu et de prendre un instant pour regarder autour de soi, comme si ce t-shirt envoyé un message clair : « CHILL ! »
Vos derniers coups de cœur culturels et musicaux ?
Il faut savoir une chose, on ne fait rien sans musique ou presque - il y a toujours une playlist qui tourne ! Dernièrement, c’est l’album Winters is For Lovers de Ben Harper en fin 2020 sur lequel on a bien accroché. Toujours côté musique, il y a Franck & Damien qu’il faut découvrir et suivre vite vite vite. Deux français de Bordeaux aux influences Indie Folk qui méritent une plus grande notoriété ! Et pour terminer cette rubrique culturelle, on citera la mini-série VELA de John John Florence qui nous transporte à l’autre bout du monde, à la voile !
Pouvez-vous nous parler de vos projets en cours et à venir ?
On vient de sortir de nouvelles couleurs pour nos skates, la collection 2021 si on veut ! Pour l’avenir, continuer ce que l’on fait sans se mettre la pression ! On passe du bon temps à travailler sur ce projet qui a beaucoup de signification pour nous. Le jour où on commencera à prendre le sujet trop au sérieux, c’est qu’il sera temps de passer à autre chose !
Et pour finir, quels sont vos mantras préférés ?
« Live Like Jay », en hommage à Jay Moriarity, qui représente à lui seul beaucoup plus qu’une simple passion pour l’océan.
Un grand merci à Célestin et Alexis d'avoir partagé avec nous leur projet passionnant ! Rejoignez-les sur Instagram @pinea_skateboards et retrouvez leurs skateboards éco-responsables faits main en France sur leur site internet : https://www.pinea-skateboards.com/
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- D’où viens-tu et que fais-tu dans la vie ?
Je suis né en banlieue parisienne et j’y ai passé toute ma vie jusqu’à l’année dernière où j’ai décidé de partir voyager en Nouvelle Zélande. Aujourd’hui j’y suis toujours et donc je continue à visiter le pays, tout en faisant de la musique et en vivant de nouvelles expériences.
- D'où vient ta passion pour la musique et le rap ?
Je pense que cela vient en grande partie de ma mère qui m’a transmis cette passion. Elle écoute énormément de R&B, soul et hip hop donc ça a commencé comme ça.
- Ton dernier projet "Perfectionniste" est plein de légèreté, de bonnes ondes et de second degré. Tu y parles librement de ton aventure dans la musique, mais aussi des obstacles et remises en question que tu as pu rencontrer en te lançant dans la musique. Qu'est-ce qui t'a motivé à te lancer ?
Et bien un soir j’ai eu une énième discussion avec ma copine où je lui parlais de mon amour inconditionnel pour la musique et ma volonté de faire ça de ma vie, alors elle m’a dis que c’était le moment de me lancer ! Et le lendemain je m’y mettais. Mon manque de confiance en moi était une vraie limite à mon avancée, mais à un moment faut plus réfléchir faut juste passer à l’action.
- Quels sont les messages que tu souhaites transmettre par ta musique ?
Les valeurs du Hip Hop sont : Peace, Love, Unity & Having fun. Je m’y retrouve bien. Mes objectifs c’est que les gens se respectent entre eux, respectent les autres êtres vivants, et notre planète. Dans ce sens là, je m’éduque chaque jour pour associer la parole aux actes. J’ai aussi envie de faire comprendre que tout ne tourne pas autour des Humains, et que si on en avait plus conscience notre façon de vivre serait radicalement différente. Vivre sa vie avec son coeur est aussi pour moi la clé de nos vies. Cela nous emmène toujours dans la bonne direction, tout en gardant notre âme d’enfant car au final devenir adulte ne veut pas dire effacer cette partie la de nous. Malheureusement ce n’est plus une valeur très présente lorsque l’on grandit.
- Les icônes qui te font rêver depuis l'enfance ?
Je n’en ai pas en particulier, je pense que c’est la culture Hip Hop en général qui me fait rêver depuis que je suis petit.
- Quelles sont tes plus grandes sources d'inspiration ?
D’une manière générale, je suis très sensible donc tout ce que je vis peut m’inspirer. De sujets complexes sur la société ou juste des choses banales de la vie quotidienne. Les Humains en sont une très grande aussi tellement il y a de choses à dire.
- Une journée type dans ta vie ?
Etant donné que je voyage je n’ai pas de vraie routine installée donc cela change selon les périodes. Mais ce qui est sûr, c’est que chaque jour je fais ou j’écoute de la musique et je me développe personnellement.
- Tes spots préférés en France et à travers le monde ?
J’en ai un sur la côte ouest en Vendée. C’est un lieu spécial pour moi car j’y vais tous les étés depuis que j’suis petit avec toute ma famille. Il y a la mer, la plage, rien besoin de plus.
- Tes plus beaux voyages, c'était où ?
C’est celui que je vis en ce moment en Nouvelle Zélande ! Les paysages sont très beaux mais ce que je préfère c’est l’expérience humaine que je vis ici, c’est incroyable !!
- Où seront tes prochains voyages ?
Probablement en Asie, mais je ne sais pas encore où, des recommandations ?
- Tes gestes éco-responsables pour protéger la planète au quotidien ?
J’ai un régime alimentaire plant based, j’achète mes vêtements en magasin de seconde main, voilà pour le reste j’essaie de m’éduquer pour faire au mieux :)
- Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
C’est une marque très stylée avec de très belles valeurs, je respecte et je soutiens énormément ce genre de démarches. Bravo pour ce projet.
- Ton print favori ?
J’aime beaucoup les trois, c’est dur de choisir ! Allez je garde le « Island Girl ».
- Tes derniers coups de cœur culturels et musicaux ?
« Intimate Fond » de Dabeull, « Testing » d’A$AP Rocky, l’EP « Peper » de Peet, « Tako Tsubo » de l’Impératrice. Et en séries Bojack Horseman et Euphoria, ce sont des références pour moi.
- Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
En ce moment je publie un son par semaine, tous les dimanches. Je ne me suis pas fixé de limites et j’espère en faire le plus possible !
- Et pour finir, quel est ton mantra dans la vie ?
« Westside », c’est mon gimmick mais pour moi ça représente une vibe, un mode de vie. C’est du soleil, du bon son, des bonnes énergies et de la bonne nourriture.
Un grand merci à Lüx d'avoir partagé avec nous ses valeurs, son projet artistique et son trip en Nouvelle Zélande ! Rejoignez-le sur Instagram @luxnumero14 et écoutez ses sons plein de bonnes ondes disponibles sur toutes les plateformes musicales, dont son dernier titre "Miami" sur ce lien :)
]]>L’industrie du coton « conventionnel » (non bio) participe à l’irrigation intensive et à l’altération progressive des sols, amenant à une réduction de la biodiversité et un appauvrissement des sols.
Le premier pays producteur de coton dans le monde est l’Inde, avec 6 188 000 tonnes de volume de production par an. Les quantités d’eau requises à la production de coton « conventionnel » sont particulièrement importantes. Cette culture nécessite en effet une irrigation des terres à profusion. Les ressources naturelles étant limitées sur ces territoires, ces types de cultures « conventionnelles » réduisent l’accès à l’eau potable aux populations locales.
De plus, cette culture « conventionnelle du coton » comprend l’utilisation de pesticides et OGMs. Les terres deviennent alors fortement polluées, et l’on assiste à une perte de la biodiversité jour après jour. Les travailleurs eux aussi sont impactés par cette pollution qui engendre des problèmes de santé dûs aux pesticides. Le coton « conventionnel » est donc à l’origine de problèmes de peau liés aux pesticides et produits chimiques, véritables perturbateurs endocriniens qui sont absorbés par l’organisme au contact de la peau.
Enfin, les fibres de coton « conventionnel » sont beaucoup moins solides, en faisant un produit peu durable dans le temps. D’où la nécessité de repenser ce modèle qui a atteint ses limites et impacte négativement la nature comme l’humain.
La culture du coton biologique consomme 91% d’eau en moins que la culture du coton conventionnel. Soit 10 fois moins d’eau que le coton conventionnel !
Les sols des cultures biologiques sont plus riches en matières organiques, ce qui permet de retenir plus d’eau que les sols des cultures conventionnelles. Le coton bio est également cultivé sur des terrains où la mise en jachère et la rotation des cultures sont pratiquées, et où les « mauvaises herbes » ne sont pas systématiquement éliminées. Ainsi, la terre parvient à absorber et maintenir davantage d’eau de pluie (jusqu’à 30% plus d’eau) et donc nécessite beaucoup moins d’irrigation.
Sources : rapport de Textile Exchange ; rapport du WWF pour C&A
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Biologique |
Conventionnel |
Préparation des graines
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Non traitée, sans OGM |
Traitées avec des fongicides et insecticides, possibles OGM |
Préparation du sol
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Rotation des cultures, engrais naturels |
Engrais synthétique, mono culture intensive appauvrissement des sols |
Contrôle des « mauvaises herbes »
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Arrachages mécaniques ou manuels et tolérance sur les mauvaises herbes bénéfique pour les insectes et animaux |
Insecticides et pesticides utilisés en masse, sol mis à nu |
Production (filage)
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Stabilisation de la fibre avec utilisation d’agents non-toxiques |
Stabilisation de la fibre avec utilisation d’agents toxiques |
Blanchiment
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Blanchiment au peroxyde non-toxique |
Blanchiment à la chlorine, création de sous-produits toxiques |
Traitement du tissu |
Traitement à l’eau chaude avec contrôle du PH par des produits non-toxiques |
Traitement à l’eau chaude et produits chimiques additionnels |
Teinture
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Basse concentration de métaux lourds et de sulfures |
Haute concentration en métaux lourds et sulfures |
Impression |
Pigments en base aqueuse ou pigments sans métaux lourds |
Pigments issus du pétrole avec haute concentration en métaux lourds |
Prix d’achat Prix sur le long terme
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Elevé Le prix juste pour protéger notre environnement. Les coûts des mesures pour protéger l’environnement et la société sont inclus à chaque échelon dans le processus de production. |
Bas Enorme. Les coûts liés aux impacts sur l’environnement (dépollutions, coûts sociaux, etc.) ne sont pas pris en compte dans le prix de vente et devront être assumés plus tard par on ne sait pas bien qui… |
Des certification et labels assurent l’encadrement du coton bio de sa culture aux finitions des produits textiles finis : labels GOTS, FairWear, Oeko Label d’Oeko-Tex… Nos vêtements sont certifiés par ces labels pour vous garantir des produits sains et respectueux de l'environnement.
Le coton bio garantit la préservation durable des terres, le développement naturel de la faune et la flore et le maintien de l'équilibre de la biodiversité. Pour l'humain, cette culture lui assure des conditions de travail saines, sans impact négatif sur sa bonne santé. Porter un vêtement sain pour l’environnement tout comme pour sa peau, c'est prendre soin de soi tout en prenant soin de la planète.
Enfin, le coton bio est naturellement plus doux et plus qualitatif : les fibres de coton biologiques sont plus solides, plus longues et douces que les fibres de coton cultivé avec des pesticides. On obtient alors une meilleure solidité du tissu. Cela en fait un vêtement qualitatif et durable, pour le porter et l’aimer à l’infini.
- D’où viens-tu et que fais-tu dans la vie ?
Je suis né à Paris et j’ai grandi à Montreuil en Seine Saint Denis, j’ai de la famille du côté des côtes d’Armor à saint Cast le Guildo (entre saint Malo et saint Brieuc) et j’y vais dès que je peux pour profiter de la mer et du grand air. Je suis éducateur sportif, coach sport bien-être et entraineur de handball.
- Peux-tu nous parler de ton projet d'accompagnement sportif ?
Le projet qui me tient à cœur est de transformer le fitness que tout le monde connaît en un sport ludique, dans une ambiance joviale et motivante. Pourquoi ne pas en faire un sport presque collectif de partage et de rencontres, ayant pour but le maintien et le développement des capacités physiques et mentales. Apporter du bien-être, de la bienveillance et donner envie aux personnes qui ont peur du fitness ou du sport en général. Mais également aux habitués qui ont envie de s’entretenir physiquement et de s’éclater, d’être bien dans leur tête et leur corps.
Des séances à 90% au poids de corps, n'ayant jamais été moi-même un fanatique de musculation intensive avec des charges lourdes. Pas de compétition, chacun travaille à son rythme, chacun ses objectifs en allant tous vers le même but. Je parle de mon projet en tant que sport bien-être, en aidant par le biais du sport et de la motivation mais aussi en s’intéressant à la nutrition. Le ventre est le second cerveau de l’être humain.
- Quelle place prend le sport dans ta vie ?
Le sport est ma vie. Il ne se passe pas un jour où je ne pense pas, ne pratique pas ou ne m’intéresse pas au sport. Que ce soit à mon travail ou en me déplaçant en skate, en vélo ou en courant. J’ai pratiqué énormément de sports dans ma vie, collectifs, individuels, artistiques et sports de glisse. Même en rentrant chez moi je peux passer des heures à regarder des vidéos sur internet de trip de surf ou l’émission riding zone. Il ne se passe pas une seconde ou il n’y a pas de sport dans ma tête. C’est aussi pour ça que j’en ai fait mon métier, pour partager cette passion avec un maximum de monde, des plus jeunes aux plus âgés.
- Quelles sont les valeurs que tu aimes transmettre dans ton métier ?
Les premières choses qui me viennent à l’esprit c’est le partage, le plaisir et le bien-être que le sport procure. Les valeurs de respect, l’apprentissage des règles. Le sport permet de s’échapper du quotidien, de se dépasser et de grandir physiquement comme mentalement pour se sentir bien dans ses baskets.
En tant qu’éducateur sportif j’ai aussi la chance de pouvoir montrer aux plus jeunes comment respecter l’environnement. Je peux leur expliquer pourquoi il faut protéger notre planète pour continuer à pratiquer les sports que l’on aime. Les sensibiliser à l’écologie, leur expliquer qu'il faut qu’il y ait moins de pollution pour que l’homme respire et que la biodiversité continue de grandir. Que la nature, même en vivant en région parisienne, il faut la protéger.
- D'où vient ta passion pour les sports de glisse ?
Mon grand frère, est un fou de snowboard, petit sa chambre était remplie de poster de Shaun white ou de riders que je ne connaissais pas, les jeux vidéo Tony Hawk aussi m’ont fait découvrir le skate avant même de savoir courir. J’ai donc naturellement cherché à faire du skate, je n’ai jamais été très bon mais toujours passionné.
J’ai eu la chance de pouvoir aller à la montagne de nombreuses fois et donc glisser sur la neige en ski ou en snow. Ma première fois en surf c’était en stage avec l’UCPA à Carcan, dès que j’ai pris ma première vague j’ai compris l’amour et la passion de la glisse, cette sensation extraordinaire de glisser sur la nature et se sentir si petit dans un océan mais tout de même de pouvoir plus ou moins prendre le contrôle dessus. Sachant que la nature te rattrapera toujours 😉
J’ai en plus découvert le wakeboard il n’y a pas très longtemps et c’est encore une nouvelle passion. Je suis fou de la sensation de liberté et de bonheur dès que l’on glisse sur le bitume, sur l’eau ou sur la neige.
- Tes spots de surf et skate-parks favoris ?
Mon « home spot » dans les côtes d’Armor. En été, peu de vagues, mais l’hiver c’est royal et ça commence malheureusement à être blindé... Tous les spots où j’ai pu surfer en Bretagne Sud. Carcan où j’ai surfé pour la première fois. Taghazout au Maroc, et j’ai eu la chance de surfer au Sri Lanka aux côtés de tortues !! Au niveau skate à Paris un peu partout, je roule surtout en Carver ou en YOW, je ne suis pas trop skatepark même si je m’y mets de plus en plus. Le street m’intéresse aussi, dès que je vois un spot skatable je fonce.
- Longboard ou shortboard ?
Malibu car c’est facile et le plaisir est présent à chaque fois. Je m’étais offert un Fish en 7’’ mais je n'ai pas encore eu l'occasion de beaucoup l'essayer. Pour moi le vrai plaisir de la glisse est quand même sur un longboard.
- Tes plus beaux voyages, c'était où ?
Mon plus beau voyage c’était au Sri Lanka. Un pays magnifique, des gens généreux et adorables, et des spots de surf magnifiques. Remonter au large et avoir des tortues nageant à coté de soi, c’est magique. Un road trip en Bretagne, le Maroc avec un ami marocain. Totale découverte de leur culture et de leur mode de vie. J’ai fait un tour d’Europe pendant deux mois en train et en stop et aussi un trek dans le désert algérien lorsque j’avais 15 ans. Pas de surf pendant ces trips, mais quelles expériences !
- Où seront tes prochains voyages ?
La Martinique ou les Philippines car avec les conditions sanitaires il faut partir loin. Mon rêve serait d’aller juste voir la vague de Teahupoo en Polynésie française sans même la surfer. Si j’ai l’occasion de partir en trip en Asie ou en Amérique latine, je n’hésiterais pas.
- Les icônes qui te font rêver depuis l'enfance ?
Tony Hawk et Shaun White sont les deux premiers noms que j’ai entendu en sport de glisse. Ils m’ont fait découvrir la glisse et j’ai grandi avec leurs exploits. Et forcément le king Slater ou les monstres Tolédo et Médina. Aujourd’hui je suis fasciné par le waterman Kai Lenny et le jeune talent Kauli Vaast. Sans oublier mes idoles dans le handball, Daniel Narcisse, Luc Abalo ou Mickael Hansen. Et Joseph Garbaccio qui me régale sur les réseaux sociaux.
- Quelles sont tes plus grandes sources d'inspiration ?
Ce qui m’inspire aujourd’hui c’est le bien-être des gens, rendre heureux les personnes qui m’entourent et réussir à avancer ensemble vers un but précis. De nombreuses choses m’inspirent, mais la réussite sportive est je pense la chose qui m’a toujours fait avancer. Les voyages, rencontrer la richesse du monde, partager les expériences et le savoir de chacun sur cette planète.
- Une journée type dans ta vie ?
Réveil relativement tôt, petit déjeuner complet. Etirements ou petit run matinal avec un peu de renforcement musculaire pour être en forme et pouvoir encadrer mes pratiquants dans les meilleures conditions. Et si possible surf ou skate toute la journée !
- Tes bonnes adresses à Paris ?
La Surferie, le rdv des rideurs de Paris. Sinon le Timbre-Poste à Malakoff, un restaurant spécialiste du sud-ouest, j’y vais quasiment après chaque match de handball avec mon équipe. Pour sortir, le Ground Control, la Machine du Moulin Rouge et la salle de concert La Marbrerie à Montreuil, pour des soirées vraiment sympas. Pour la glisse, les skate-parks de Paris et ses alentours, le wake park de Jablines, et partout où la ride est présente. Pour mon sport et lorsque je coache, j’adore le bois de Vincennes et le lac Daumesnil, pas loin de chez moi pour s’entrainer et coacher.
- Tes gestes éco-responsables pour protéger la planète au quotidien ?
Rouler un maximum en vélo ou en skate. Trier tous mes déchets et essayer de moins acheter de contenus en plastique. J’ai récemment diminué ma consommation de viande aussi pour participer à ma petite échelle à la diminution des émissions de gaz nocifs pour la planète. Consommer des fruits et légumes de saison, et local. J’essaie aussi un maximum dans mon travail de sensibiliser les plus jeunes aux gestes éco responsables, qu’ils comprennent qu’il faut protéger cette si belle planète pour leur avenir. Il m’est arrivé d’organiser des courses d’orientation mélangées avec du plogging (ramassage de déchets).
- Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
J’ai découvert Studio Rivage par le biais d’Instagram, et j’ai tout de suite accroché au projet. L’idée qu’une jeune parisienne passionnée par la glisse et les voyages se motive à lancer sa collection de vêtements éco responsables je trouve ça génial et je partage pleinement les mêmes valeurs. Les dessins sont simples mais peuvent dire énormément de choses, et laissent une part d’imagination. Je partage les valeurs de l’esprit libre et être en quête perpétuelle d’aventure.
- Ton print favori ?
Le Night Rider m’inspire et montre que les femmes ont tout autant leur place que les hommes sur un skateboard c’est même super classe à mon goût. Mais ils sont tous super cool. J’attends de voir la suite avec impatience.
- Tes derniers coups de cœur culturels et musicaux ?
Bellaire et ses musiques qui m’ambiancent toute une nuit. La folie de Paul Kalkbrenner, le voyage de Peggy Gou, Todd Terry. Je suis un fou de hip hop et de rap français avec des textes bien écrits, comme Nekfeu et Damso pour ne citer qu’eux. Mais j’écoute vraiment de tout, de la techno, au jazz, en passant par le rap et le rock. J'aime me réveiller en écoutant Bellaire, me dépenser avec MOP ante up, rider avec le rap street d’Hugo TSR, surfer la musique d'IZ "Somewhere over the rainbow". Et Bob Dylan pour m’endormir.
- Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
J’ai dans l’idée de rassembler un maximum de gens autour d’une même passion qui est le sport et l’entretien physique. Transformer le fitness en sport collectif qui pourrait correspondre à un maximum de monde. De pas du tout sportif à très sportif. Mais en ces temps difficiles, rassembler un maximum de monde autour du sport et du plaisir de s’entretenir. Se faire du bien physiquement mais aussi moralement. Aujourd’hui c’est très important. Je propose donc du coaching sport bien-être. Je souhaite créer une communauté de personnes motivées par le sport bien-être et non la musculation a gogo, le plaisir de s’entretenir, le corps la tête et l’esprit.
- Et pour finir, quel est ton mantra dans la vie ?
« Fais de ton mieux et n’oublie pas d’être heureux. » Ou sinon « Oublies que tu n’as aucune chance, fonces ! ».
Merci à Basile d'avoir partagé avec nous sa passion ! Retrouvez-le sur Instagram @baz_entretien_sportif pour suivre ses entraînements sportifs. Et merci à la photographe @violette_castex pour ces beaux clichés :)
]]>D'où vient ta passion pour la musique ?
J'ai toujours été passionnée de musique. Petite, j'ai appris à jouer du piano au conservatoire et plus tard, j'ai commencé à écrire des chansons. Pendant longtemps j'ai chanté dans ma chambre mais en 2018, j'ai eu l'opportunité d'enregistrer mon premier projet en studio et j'ai eu envie de partager ma musique.
Peux-tu nous parler de ton nouvel EP Flowered ?
Flowered, c'est un EP composé de 6 titres aux ambiances RnB, Soul et Pop. Je me suis beaucoup servie de mes expériences personnelles pour écrire ces chansons.
Quels thèmes abordes-tu dans cet EP et quels messages souhaites-tu partager à travers ta musique ?
Dans la chanson "No Matter What They Think", mon message est simple : oser être soi-même en société, oublier le regard des autres et profiter de l'instant présent ! C'est peut-être devenu un peu cliché tout ça... Mais c'est vrai que pendant longtemps, par peur du jugement, je me suis empêchée d'être moi-même et de partager ma musique. Je parle aussi des relations amoureuses, un sujet qui m'a toujours beaucoup inspiré :)
Tes chansons sont solaires et pleines de bonnes ondes. Comment définirais-tu ton style musical ?
Oh merci :) J'ai réalisé cet EP en duo avec Kouny et dans notre processus de travail, on a toujours voulu rester sincères, s'amuser et surtout rester nous-mêmes. J'aime me dire que cet EP est à la croisée des genres musicaux, on a suivi notre instinct sans s'enfermer dans un style en particulier. Les chansons sont toutes différentes les unes des autres.
Quels sont tes conseils pour rester motivée quoi qu'il arrive afin de réaliser ses rêves ?
C'est vrai que c'est parfois dur pour les artistes indépendants de rester motivés et garder le moral, surtout en ce moment avec le covid et la crise sanitaire... Je pense qu'il faut avant tout continuer de faire ce que l'on fait pour le plaisir sans se poser de questions et garder confiance en soi.
Tes bonnes adresses parisiennes ?
Les photos ont été prises au AMA, 47 Rue du Faubourg du Temple, 75010 Paris. Un de mes restaurants préférés. Le lieu et la déco sont incroyables, le service est top, la cuisine et les cocktails sont délicieux... Bref, un sans faute et un restaurant à visiter dès que ce sera à nouveau possible.
Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
J'accorde de plus en plus d'importance (et je ne suis pas la seule) à ma manière de consommer la mode. Je suis fan de vintage et de vêtements de seconde main depuis toujours. La moitié de ma garde robe vient d'Emmaüs, de Vinted ou des brocantes. C'est super que Studio Rivage utilise des matériaux naturels et bio, pour moi ce positionnement est devenu essentiel.
Ton print Studio Rivage favori ?
J'ai une préférence pour les amoureux de l'amour avec le "Sunset Lovers".
Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
J'aimerais réaliser plusieurs clips pour donner de la visibilité à mon premier EP "Flowered", faire de la scène dès que ce sera à nouveau possible et bien sûr commencer à préparer la suite...
Où peut-on suivre tes aventures musicales ?
Flowered est disponible sur toutes les plateformes et vous pouvez suivre mes aventures sur Instagram et Youtube. Merci Anaïs de m'avoir invitée à prendre la parole ici.
Un grand merci à Phoebe d'avoir partagé avec nous son nouvel EP, sa passion pour la musique et ses projets. On vous invite à écouter l'EP Flowered dès maintenant sur toutes les plateformes :) Retrouvez également nos titres préférés de Phoebe sur les playlists Spotify de Studio Rivage !
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Anaïs, la créatrice de Studio Rivage, a eu le plaisir d'être interviewée par Stokabio sur notre projet. L'échange se porte sur les inspirations de la marque, ses valeurs et les produits à venir. Rendez-vous sur l'article de Stokabio pour découvrir l'interview et en savoir plus !
Un grand merci à Stokabio pour son soutien !
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D’où viens-tu et que fais-tu dans la vie ?
Je suis de Paris, j'y suis né avec une mère d'origine italienne. Et comme Jamie Madrox, je suis un homme multiple mais toutes mes activités ont comme point commun : les sports extrêmes, l'aventure et la liberté.
Peux-tu nous parler de ton agence No Limit Agency ?
C'est une idée de mon ami Christophe Pavlevski au départ. Le but était de répondre à toutes les demandes que je reçois au quotidien concernant des prestations pour des riders et champions de sports extrêmes. Nous avons les meilleurs athlètes du monde dans toutes les catégories et disciplines et nous trouvons des contrats pour eux, un show, une conférence, un coaching, un shooting, meeting, partenariat... Et nous développons des projets pour plusieurs municipalités qui souhaitent créer des skateparks et des écoles de sports urbains également. Nous sommes aussi en train de développer une émission de télé grand public liée aux sports de glisse et olympiques avec une grosse boite de production. Pas mal de projets et ça ne fait que commencer donc c'est très excitant.
D'où vient ta passion pour les sports de glisse ?
J'aime la créativité, la liberté et la performance et on ne retrouve ces valeurs que dans le freestyle et les sports de glisse. Et j'aime aussi la sensation de maitriser un engin sur un élément comme l'eau ou le béton. Les personnes qui pratiquent ces sports sont en général des gens passionnés qui n'écoutent que leur cœur et leur envie de liberté.
Depuis quand pratiques-tu le BMX ?
Depuis 1986, grâce à mon frère jumeau qui a commencé presque un an avant moi.
Tes spots favoris pour rider ?
Pour rider, le meilleur spot est Dupleix dans le 15e pour moi mais un bon spot est un endroit où tu retrouves tes amis avant tout.
Quelles sont tes meilleures performances dans cette discipline ?
Les titres, on s'en fout et personne ne s'en rappelle. Ce qui compte c'est la performance contre soi-même et les victoires qu'on en retire. Certains tricks m'ont pris plus d'une année d'entrainement et de persévérance et c'est la réussite de ces tricks que je retiendrais.
On parle beaucoup de dépassement de soi dans les sports de glisse, et le nom de ton agence fait écho à cette philosophie. Quels sont tes "secrets" de pro rider pour dépasser tes limites ?
La confiance est un atout, croire en soi et croire que c'est possible constituent plus de 80% du boulot, le reste est un peu d'entrainement. La persévérance et la gestion de l’échec sont des choses importantes aussi. Apprendre à tomber mais surtout à se relever encore et encore et affronter la vie qui ne fait pas de cadeau, enfin c'est ce que dit le philosophe Rocky Balboa et je crois en lui donc j'applique tout ça à la lettre.
Où peut-on avoir la chance de suivre tes cours de BMX ?
Paris et région parisienne. Je donne des cours le samedi matin et le mardi soir en skatepark et flatland. Et des cours particuliers quand vous voulez et où vous voulez.
Pratiques-tu d'autres sports de glisse ou sports complémentaires au BMX ?
Oui je pratique le skate longboard parfois mais surtout le surf dès que j'en ai l'occasion. Il y a des années, je faisais plus de surf que de bmx même. Je suis un grand fan de la surf culture qui est la plus authentique à mes yeux. J'aime la sensation de symbiose avec les éléments qu'on retrouve sur les vagues.
Quelles sont les icônes qui te font rêver et te motivent depuis toujours ?
Le canadien Chase Gouin m'a beaucoup inspiré et aujourd'hui je suis un grand fan du meilleur rider du monde, Jean-William Prevost, lui aussi canadien.
Qu’est-ce qui t’inspire au quotidien ?
Les gens qui bouleversent les codes et qui suivent leur propre chemin. Ceux qui ne croient pas à la fatalité et au destin, qui avancent et progressent dans la vie en dehors des rails et des lois. Ceux qui vont de l'avant et plus loin que les autres, c'est le concept des sports extrêmes.
Une journée type dans ta vie ?
La priorité absolue est ma fille, tout ce que je fais est pour elle. Ensuite je gère les différentes demandes que je reçois avec mon agence et un peu d’administratif parce que j'ai des employés à payer et à gérer. J'écris un article sur mon blog quand je suis inspiré et j'essaye d'aller rider au moins une heure par jour quand c'est possible.
Tes bonnes adresses à Paris ?
Ça dépend pour quoi faire. Pour le matos surf et skate, ce sera Hawaii Surf et pour manger, je conseille la Crêperie Contemporaine rue du Théâtre.
Tes plus beaux voyages, c'était où ?
J'ai eu la chance de beaucoup voyager ces trente dernières années, du Japon aux USA (notamment la Californie et NY) en passant par tous les pays d'Europe mais la destination que je préfère largement est le Maroc que j'ai découvert grâce au surf et kitesurf. Je pourrais aller vivre sur ces spots à quelques heures de Essaouira qui sont aussi des villages de pécheurs, c'est le vrai paradis pour moi. Je m'y sens bien.
Où seront tes prochains voyages ?
Il y a encore quelques pays que je ne connais pas comme la Grèce et j'ai le projet d'aller surfer la vague de Chicama au Pérou aussi. Et en grand fan de Dracula (ma fille s'appelle Mina-Rose), je dois aussi aller visiter son château en Transylvanie (Roumanie).
Tes gestes éco-responsables pour protéger la planète au quotidien ?
Je ne suis pas vraiment un gars eco-responsable. La meilleure musique du monde est le bruit du moteur de ma moto vintage pour moi. Ça fait bien longtemps qu'on a flingué la planète et ses ressources. Le point de non retour est dépassé depuis des années et on n'y changera rien tant qu'on consommera autant. La planète est foutue et on fait partie des dernières générations à pouvoir la contempler. Le souci pour moi, c'est la démographie constante. Quand j'avais 15 ans, on était 3 milliards sur terre et on a plus que doublé ce chiffre en 30 ans donc imagine dans 20 ou 30 ans. On sera 20 milliards et chacun veut sa bagnole et son Iphone donc faut creuser le sol pour trouver encore plus de pétrole, de lithium et tout ça... Bref, il fera meilleur sur Mars d'ici quelques années. Comme je l'avais écris dans un article, nous sommes en train de vivre la sixième extinction de l’humanité et la cause est l'humanité elle même ce coup-ci. Nous sommes le virus de cette belle planète.
Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
Des jolis t-shirts avec des logos sobres et efficaces. Et surtout une mentalité avec des valeurs importantes. Une marque très ancrée dans l’air du temps et des tendances dans une ambiance qui donne envie de sortir sa planche de surf ou de skate et d'aller glisser sur la vie.
Ton print favori ?
Celui avec les deux visages me parle plus mais celui avec le skate est aussi très réussi.
Tes derniers coups de cœur culturels ?
Je suis très branché Comics US et Pop Art comme on peut le voir sur ma peau et niveau musique, j'écoute principalement du métal et de la tripop (Alpha, Portishead). Tout ce qui sort aujourd'hui en rap ou rock est très fade et manque d'énergie donc je préféré écouter les bons vieux morceaux légendaires et historiques.
Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
Je suis actuellement en train d'écrire un livre sur les Femmes dans les sports extrêmes avec mon ami Nicolas Arquin. Un beau projet qui me tient très à cœur et que j'ai réussi à vendre aux éditions Glenat pour une sortie en été 2021 avec les 36 meilleures athlètes du monde et notamment Justine Dupont qui signe la préface. J'ai pas mal de shows en BMX de prévus, beaucoup de projets ambitieux avec mon agence et des gros projets avec Decathlon notamment ainsi que l'émission de télé avec un animateur/producteur très connu. Et sinon continuer à rendre ma famille heureuse autant que possible.
Et pour finir, quel est ton mantra dans la vie ?
« Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais » Oscar Wilde.
Manu Massabova Flatlander from Nugguy Studio on Vimeo.
Un grand merci à Manu Massabova d'avoir partagé avec nous sa passion pour la glisse ! Retrouvez-le sur Instagram et sur le site internet de son agence No Limit Agency.
]]>Une fois encore, Studio Rivage s'associe avec Reforest'Action pour agir en faveur de l'environnement pendant la période des soldes d'hiver (du 20 Janvier au 16 Février 2021). Nous ne proposerons pas de réductions et nous engagerons à planter un arbre à chaque commande en reversant des fonds à l'association. Les arbres seront plantés dans la cadre de projets de reforestation en France et dans le monde, pour favoriser la biodiversité locale et internationale.
La forêt et le premier puits de carbone terrestre.
80% de la biodiversité terrestre est abritée en forêt.
Les forêts permettent de subvenir aux besoins de 25% de la population mondiale.
Depuis quand vis-tu à Tahiti ?
Depuis toujours ! Je suis née et j’ai grandi à Tahiti. Mon père est d’origine italienne et ma mère est Polynésienne, plus précisément originaire des îles des Tuamotu. Je suis ce qu’on appelle ici une “demi”.
Une journée type dans ta vie ?
Je viens d’être diplômée d’un bachelor de l’Ecole de Commerce de Tahiti. Je fais un break dans mes études afin de me former à divers outils digitaux. Je n’ai pas de journée type, je porte une attention particulière au bien-être et à la santé. La seule routine que j’ai est que je me réveille à 5h du matin, je fais du sport, du yoga, de la méditation et je mange sainement... Ensuite pour la plupart de mon temps libre, je le passe avec mes proches, généralement à la mer ou à la rivière.
C'est comment la vie en Polynésie ?
“A vibe you won’t find anywhere else.” C’est compliqué de répondre à cette question. C’est bien évidemment les paysages idylliques, mais c’est aussi une énergie, et une population riche en couleurs. On y trouve un mélange entre la conservation du patrimoine culturel et un métissage comme on ne voit pas partout.
Quelles sont tes activités préférées ?
Toutes les activités en lien avec la nature, que ce soit le sport, les randonnées, les excursions… Et depuis quelques temps, j’adore dessiner, même si je ne suis pas très douée !
Tes spots favoris et bonnes adresses à Tahiti ?
Il y en a trop ! Tout dépend de ce que je recherche. Le premier endroit insolite qui me vient en tête sont les “Fare” flottants sur un banc de sable. Ce sont de grandes pirogues flottantes qui ressemblent à des maisons, où vous pouvez passer des moments festifs en famille ou entre amis entouré d’eau turquoise. Sur l’île sœur Mo’orea, je recommande le restaurant Coco Beach situé sur un îlot (appelé un “motu” en tahitien), où on y mange très bien. C’est un endroit magnifique et très festif à certains moments de l’année. Meilleur endroit pour le sunset également.
Longboard ou shortboard ?
Hum… planche en mousse pour le moment ! Mais je pense que le longboard m’attire davantage. Sinon, je pratique plutôt le wakesurf, et depuis quelque temps je m’essaie au foil…
Tes plus beaux voyages, c'était où ?
Mes critères pour un voyage réussi sont les paysages, la population, les souvenirs et bien évidemment… les spécialités culinaires ! Du coup pour tous ces critères, je dirais que mon top 3 est l’Italie, le Vanuatu et la France.
Où seront tes prochains voyages ?
J’adore voyager ! Je n’ai pas pu beaucoup voyager à cause de mon emploi du temps ces trois dernières années mais j’espère pouvoir partir bientôt ! La Corée ou le Japon avec ma grande sœur qui est passionnée ! Peut-être LA prochainement. Je verrais :)
Qu’est-ce qui t’inspire au quotidien ?
L’ordinaire, les moments entre amis, en famille, et bien sûr nos paysages riches en couleurs ! Les légendes polynésiennes, les artistes locaux d’un autre temps, l’artisanat, le chic polynésien. Absolument tout, quelle que soit la situation. J’aime m’inspirer des îles d’ailleurs et des plus grandes villes également.
D'où vient ta passion pour la nature ?
Je pense que c’est plus qu’une passion, c’est tout simplement mon quotidien, l’environnement dans lequel j’ai grandi. J’ai toujours été entourée de montagnes, de la mer… Pour moi, c’est impossible de penser partir vivre dans une grande ville, peut-être pour des projets, mais j’aurais toujours besoin de retourner à la nature, qui est synonyme de bien-être pour moi ! Speech classique d’une fille des îles...
Quels sont tes gestes éco-responsables pour protéger la planète ?
D’un point de vue environnemental, je fais des gestes simples du quotidien comme ramasser les déchets sur l’eau lors de mes sorties en bateau par exemple. Pour ce qui est de mes habitudes de consommation, cela fait un an que je n’achète presque plus voire plus du tout de fast fashion. Aussi, j'achète davantage local et bio, dans les pays voisins et surtout je commence à éliminer certaines protéines animales de mon alimentation. Un pas après l’autre. :)
Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
Pour moi, c’est une marque dans l’air du temps, d’un point de vue éthique de par son éco-responsabilité, son côté unisexe et ses designs minimalistes décomplexés. La vibe m’inspire la simplicité et l’ouverture d’esprit.
Ton print favori ?
Island Girl bien sûr ! Bien que le côté lineart de Sunset Lovers me parle beaucoup également.
Tes derniers coups de cœur culturels ?
J’en ai presque tous les jours ! Non je plaisante, mais au moins deux par mois. En ce moment, je suis très inspirée par les pages d’artistes et de créateurs hawaïens comme @krishawaii, @eternalsummerhawaii par exemple.
Peux-tu nous parler de tes projets en cours et à venir ?
Créer, peu importe le domaine. Je ne me mets pas de barrières. Plus concrètement, je travaille avec ma soeur sur la création d’une entreprise, mais je préfère rester discrète pour le moment :P
Et pour finir, quel est ton mantra préféré ?
J’ai plusieurs mantras qui m’inspirent et me motivent selon les situations, mais si je devais choisir celui qui me parle beaucoup en ce moment c’est “Trust the process”.
Un grand merci à Hinatea Maretto d'avoir partagé avec nous son quotidien de rêve et ses inspirations ! Retrouvez-la également sur Instagram pour suivre ses aventures polynésiennes : @hinateamaretto
]]>Ce court métrage de Louis Josek est sorti en 2020. On a eu la chance de le découvrir en avant-première pendant le Paris Surf Skate Film Festival en octobre dernier. Ce fut un grand coup de coeur visuel et musical que l'on se devait de vous partager.
Immersion en Jamaïque avec Elishama Jeshurun Beckford, aka @Shama the Superman, skateur et surfeur professionnel, et le rappeur Bakersteez. Le film est rythmé par une bande son rap et reggae, signée par les artistes Bakersteez, Popcaan et Koffee. Vous retrouverez d'ailleurs leurs titres dans la playlist Studio Rivage Stormy Island, qui a inspiré la collection capsule !
Les paysages de rêve et scènes de glisse du film nous font voyager à travers la Jamaïque. On retrouve des scènes inspirantes de Shama et Bakersteez, bien déterminés à poursuivre leurs rêves quoi qu’il arrive. Le réalisateur les suit dans leurs aventures, où ils vont parvenir à réaliser leurs rêves. Ils découvrent alors des lieux incroyables comme le Japon et Hawaii. La réplique qui résonne après avoir vu le film : « What’s gonna stop you to accomplish your dreams ? ». A visionner sans attendre sur Redbull TV.
Une rétrospective de l’histoire du skateboard et de Skateboarder Magazine à l’apogée du print, dans les années 1970. Une belle immersion auprès des meilleurs skateurs et photographes de l’époque qui ont vécu la naissance du skateboard, à découvrir également sur Redbull TV.
Voir ou revoir le sublime documentaire de John John Florence et découvrir le North Shore de l’île d’Oahu, dans l’archipel hawaiien, où vit John John Forence. Ce jeune prodige du surf vous emmène à travers des scènes magiques dans les plus belles vagues du monde. Les images sont à couper le souffle. A visionner gratuitement sur Youtube !
Un plongeur part à la découverte des fonds marins, dans une majestueuse forêt de kelp sud-africaine. Il fait la rencontre inattendue d'une pieuvre, dotée d’une intelligence remarquable. Une histoire vraie sur la jolie amitié qui a émergé entre le plongeur et la pieuvre, au beau milieu de l’océan. Les scènes sont d’une beauté touchante. Le documentaire est réalisé par Pippa Ehrlich et James Reed et a nécessité 10 ans de travail. Un pur cher d’oeuvre à découvrir d’urgence sur Netflix !
]]>D’où viens-tu et que fais-tu dans la vie ?
Hello, je m’appelle Lénaura, j’ai 20 ans. J’habite dans le Sud-Ouest depuis toujours et je fais une licence marketing digitale et communication en alternance.
Où trouves-tu l'inspiration au quotidien ?
L’inspiration, je la trouve un peu partout : sur les réseaux sociaux, dans mon entourage, des personnes que je rencontre, quand je me promène, etc. Après, je suis une personne très curieuse de tout et tout m’inspire !
Une journée type dans ta vie ?
En ce moment, c’est les cours et le travail donc pas trop intéressant… Mais les jours off comme dirait ma copine Anaïs Houpert qui a aussi participé à l’interview, moi je les appelle plutôt les ‘’journées créatives’’. Ceux sont les journées où je shoot, où je fais des vidéos. Quand il y du soleil c’est aller lire un livre de développement personnel jusqu’à l’heure du sunset avec les copains. Puis finir sur une soirée et aller danser, vivre simplement 😊💕
D'où vient ta passion pour les sports de glisse ?
Je ne pratique pas de surf au quotidien. Cependant quand j’y vais, c’est pour aller jouer dans la mousse comme une gamine, le sourire jusqu’aux oreilles, ça c’est sûr ! À savoir que depuis toute petite, je suis baignée dans cet univers grâce à mon papa ! Je m’y retrouve complètement avec les valeurs, l’esprit, le style, la plage, le soleil : la good vibes attitude ! 🌊✌🏼🌞
Où seront tes prochains voyages ?
Mes prochains voyages sont la Corse cet été avec les copains et le Maroc pour un projet dont je suis tellement excitée !
Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
Une nana GIRLBOSS qui croit en son projet, qui taff dur pour aller au bout de son rêve en développant sa marque rassemblant valeurs, passions le tout en respectant l’environnement : j’adore et je soutiens ! 🌍🌱
Ton print favori ?
J’ai un petit penchant pour le SUNSET LOVER 😊
Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
Beaucoup de projets sont à venir. Je suis en train de bosser sur ma série GIRLBOSS pour l’édition n°2 qui sortira début 2021 avec des influenceuses hyper inspirantes (je suis tellement excitée !). Et à coté je continue les shootings ainsi que de créer du contenu sur mes réseaux sociaux.✨
Et pour finir, quels sont tes conseils de girlboss et ton mantra pour rester motivée au quotidien ?
Mes conseils pour rester focus et motivée sur ses projets au quotidien, c’est déjà de s’entourer d’ondes positives (la vie est beaucoup trop courte pour user son énergie !), de consacrer son temps libre à des choses qui nous font du bien à nous. Cependant, une chose à retenir, il est important de ne pas refouler ses émotions et d’accepter qu’il y a des jours où on arrive à rien, il ne faut pas s’énerver contre soi. Une chose que vous devez retenir pour finir cette interview : « Croyez en vous, lancez-vous avant de regretter dans quelques années, on n’a qu’une vie et il y aura toujours des gens pour critiquer vos rêves, toujours ! Alors go ! » 🔥
Un grand merci à Lénaura pour ces paroles motivantes ! Retrouvez-la sur Instagram et découvrez sa série Girlboss en IGTV, où elle interview des personnalités et influenceuses sur leurs parcours inspirant.
]]>http://rideordie.fr/zoom-sur-studio-rivage-avec-anais-campillo/
Un grand merci à Manu Massabova et à Nolimit Agency !
]]>Pour ne pas entrer dans un schéma de surconsommation à tout prix et agir à notre échelle pour la planète, Studio Rivage ne proposera pas de rabais. Nous avons fait le choix de soutenir Reforest'Action pour préserver la biodiversité en plantant un arbre à chaque commande, du 27 au 30 Novembre 2020.
Un arbre planté pour toute commande passée pendant le Green Weekend ! 🌴🌵🌿
Reforest'Action est une entreprise française qui s'engage à préserver, restaurer et planter des forêts. Elle a à ce jour planté 10 millions d'arbres dans plus de 25 pays. Vous aussi, rejoignez le mouvement et devenez acteur du changement grâce à une consommation éthique et responsable.
]]>Ta journée type ?
Ma journée type, je prend mon temps pour me lever, une fois levé je bois un café puis je pratique le yoga au moins 1h-1h30. Après ça, j’aime prendre une bonne douche et commencer mes activités. Si je donne des cours de yoga ou coaching, je le fais souvent le matin ou en début d’après-midi. Comme ça, ça me laisse le temps d’aller skater. Et puis après je skate jusqu’au soir, et ça se termine très souvent en apéro avec les potes jusqu’à tard dans la nuit.
Quelle place prennent le yoga et les sport de glisse dans ta vie ?
Le yoga prend une énorme place dans ma vie, j’ai décidé d’en faire mon métier. Je le pratique tous les jours ou presque, si je n’en fais pas je sens très vite que j’en ai besoin, je me sens plus stressé et plus tendu. Même pour le skate ça m’aide tellement à récupérer, à soulager plein de douleurs. Je trouve que les deux vont tellement bien ensemble. Pour le skate c’est presque pareil, j’en fais depuis que j’ai 12-13 ans et je m’en suis déjà éloigné, mais comme le yoga je finis toujours par y revenir. Quand je skate ça me vide la tête, je vois mes potes et je ne prends que du plaisir. C’est aussi pour ça que je suis venu m’installer à Capbreton, pour pouvoir enseigner le yoga et skater ou surfer tous les jours.
Tes spot préférés pour skater ?
Déjà je dirais la place de la mairie Créteil ! C’est là que j’ai passé le plus clair de mon temps. Cet endroit est incroyable, il rassemble des gens venus de plein d’endroits différents, c’est comme une grande famille. J'ai rencontré la plupart de mes meilleurs potes là-bas ! Sinon en ce moment je skate beaucoup le park de Seignosse-Bourg et le nouveau park de Capbreton, les deux sont dingues j’adore.
Où tu as pris tes meilleurs vagues ?
Dans les Landes, c’est le seul endroit où j’ai surfé ! Je ne surf pas beaucoup mais j’espère pouvoir rider plus après le confinement et apprendre à vraiment bien surfer.
D’où vient ta passion pour les sport de glisse ?
Je ne sais pas vraiment, je crois que c’est ma grande sœur quand j’étais petit qui trouvais ça cool le skate. Comme elle avait beaucoup d’influence pour moi j’ai essayé, puis j’ai tout de suite accroché et je n’ai plus jamais lâché. Une fois qu’on touche au skate ou autre, on s’intéresse forcément aux autres sports de glisse, donc le surf m’a très vite attiré aussi. Je trouvais vraiment trop cool l’esprit du surf et le lifestyle qui va avec.
Les riders qui t’ont fait rêver depuis l’enfance et t’inspirent toujours ?
Le tout premier quand j’ai commencé c’était Rodney Mullen mais à l’époque je ne connaissais pas vraiment le monde du skate. Puis j’ai découvert très vite Ryan Sheckler, grosse révélation et motivation. Il était très jeune aussi donc je m’identifiais beaucoup à lui. Il m’inspire toujours beaucoup. Mais mon rider du moment c’est Curren Caples. Gros gros flow quand il skate et il surf aussi super bien. Lifestyle très cool aussi. Après je ne pourrais pas tous les citer, il y’en a tellement que je respecte pour leur niveau !
Tes adresses préférées dans les Landes et à Paris ?
Dans les Landes je ne sais pas encore vraiment, je m'y suis installé il y a quelques semaines seulement. À Paris y’a un resto Asiatique qui fait que du végé déguisé en viande, c’est super bon mais je ne me rappelle plus du nom... Sinon à un moment le QG c’était le Patrik’s bar à côté de chez moi en banlieue, on faisait des apéros tous le temps là-bas.
Studio Rivage, c’est quoi pour toi ?
Studio Rivage pour moi c’est l’avenir ! C’est la preuve que de plus en plus de gens se mobilisent pour la planète. Et qu'on peut continuer de porter des sapes cool tout en respectant l’environnement.
Ton print favori ?
Island Girl, je le trouve super cool et il représente bien l’univers de la marque.
Quelle place prend l’écologie dans ta vie ?
Aujourd’hui j’essaie de faire de plus en plus attention, consommer de manière responsable, ne pas soutenir les énormes industriels qui ne respectent ni l’homme, ni la planète. Je suis végétarien depuis neuf mois maintenant, je ne supportais plus de continuer à participer à l’industrie de la viande et de la pêche. Sachant que ce sont deux énormes facteurs de la pollution et du réchauffement climatique. Et la façon dont sont traités les animaux... Ca me révolte !
Tes dernier coups de cœur musicaux ?
J’écoute vraiment de tout mais dernièrement Il y a eu Her, un Groupe français Pop rock, un peu électro. Grosse révélation, j’ai été les voir en festival puis à leurs derniers concert dû au décès d’un des membres du groupe... Sinon j’écoute pas mal de rap aussi. Ca me donne une énergie de ouf pour skater. Puis y’a plein d’artistes rap hyper intéressants qui on une super philosophie de vie et un regard très intéressant sur notre société. Ça me fait pensé à Népal que j’ai découvert il y’a pas longtemps ! Un mec hyper intéressant malheureusement décédé y’a pas longtemps aussi...
Et pour finir, quel est ton mantra au quotidien ?
Un mantra que j’aime beaucoup et que je me répète dans les moments de doute c’est « je suis ici et maintenant, et c’est ici que je dois être ».
Un grand merci à Tom pour avoir partagé avec nous ses inspirations du moment. Retrouvez ses cours de yoga et ses meilleures sessions skate sur Instagram !
]]>Anaïs est d'une personnalité solaire et d'une joie de vivre radieuse. Elle partage avec nous sa passion pour la glisse, son lifestyle éco-responsable et ses meilleures adresses dans le Sud Ouest de la France, où elle s'épanouit dans un cadre de rêve...
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- D'où vient ta passion pour les sports de glisse ?
Je viens du Nord de la France, loin de l'Océan et de le culture de la glisse. J'avais donc rangé ces passions dans la case de mes rêves. Et puis un été, mes parents m'ont emmené dans Les Landes. Et c'est là que tout à commencé, c'est à ce moment que j'ai compris que j'aimais vraiment l'énergie qui émane du surf. A mon retour de vacances, j'ai commencé le skate pour compenser ce manque de glisse. Les années se sont écoulés, je me suis retrouvée en études sup à Paris, toujours frustrée d'être loin de mes passions profondes et de me rendre à l'Océan seulement l'été. Et puis, un jour j'ai décidé que je voulais vivre mes passions. J'ai tout quitté, voyagé pendant une demi-année, et je me suis installée depuis l'année dernière à Hossegor, où mes passions (surf & skate) sont devenues parties intégrantes de ma vie.
- Tes spots de surf favoris dans le Sud-Ouest de la France ?
Je suis souvent sur les mêmes spots, entre Seignosse, Hossegor et Capbreton. Mais mes spots favoris n'ont pas de noms : traverser la forêt dans le Nord des Landes pendant une heure pour atterrir en face de vagues parfaites, avec trois personnes à l'eau. Ce sont celà mes spots préférés. J'aime aussi beaucoup les spots du pays basques, les vagues sont moins creuses, plus longues.
- Longboard ou shortboard ?
J'adore les sensations du longboard, qui me permettent de ressentir le moment et de créer une danse sur la vague. Cette fluidité et cette liberté que me permettent le longboard me plaisent beaucoup. J'aime beaucoup la technique que l'on peut acquérir en shortboard, le fait de pouvoir carver sur les vagues et d'aller vite. Tout dépend donc des conditions, de mon humeur et du style que j'ai envie de créer.
- Tes plus beaux voyages, c'était où ?
Mes plus beaux voyages sont ceux que j'ai fait seul. J'ai beaucoup apprécié mon voyage au Portugal, l'année dernière. J'y ai passé un été, à travailler dans une ferme bio et à surfer. J'ai également saisi l'opportunité de partir à Bali pour un shooting, et je suis tombée amoureuse de ce que j'ai pu voir de l'Indonésie.
- Les icônes surf et skate qui te font rêver depuis l'enfance ?
J'ai connu la culture surf et skate à travers les réseaux sociaux et j'ai très vite été inspirée par des nanas comme @allonsrider et @dori_kty qui au-delà de la glisse, sont des personnes avec une très belle histoire. J'ai davantage été inspiré par des filles qui n'ont pas grandi près des spots de surf et qui ont tout quitté pour leur passion. Je suis depuis quelques années le groupe @GRLSWIRL. Ces nanas m'inspirent et me donnent beaucoup de motivation pour rider. Et comme toutes les petites filles, Bethany Hamilton a rythmé mon enfance et m'a transmis la notion d'humilité dans le surf.
- Une journée type dans ta vie ?
Une journée type et idéale, ça commence par des câlins au réveil avec mon chéri et un petit café. J'aime bien prendre mon temps le matin, pour bien me réveiller, méditer, faire une petite séance de yoga. J'essaye de me reposer pendant mes jours off, mais j'adore partir à l'aventure, aller faire des randos dans le pays basque. Je ne suis pas trop du genre à me poser, et je préfère passer l'après midi à la plage avec les copains, trouver des descentes à faire en skate, refaire le monde au sunset.
- Tes bonnes adresses dans les Landes ?
J'aime beaucoup aller dans des cafés du coin, à Thai-time ou au Green Cantine à Hossegor. Ce sont des endroits tops pour bosser et surtout pour manger :)
- Tes indispensables à la plage ?
L'huile solaire de SeventyOne Percent pour protéger ma peau et l'Océan, un bikini de Bain De Minuit, des copains et ma planche de surf :) Ça c'est une journée plage réussie pour sûr.
- Tes gestes éco-responsables pour protéger la planète au quotidien ?
J'essaye de faire de mon mieux dans mon quotidien pour prendre soin de la Planète. Loin de faire les choses parfaitement, j'essaye de consommer local, de saison et zéro-déchet. J'essaye de privilégier les vêtements de seconde-main et les marques éco-responsables, comme Studio Rivage. Je fais tout pour éliminer le plus possible le plastique et j'essaye d'utiliser toutes les alternatives nécessaires à mon quotidien. J'ai opté pour une alimentation végétarienne il y a quelques années, pour avoir un impact moins important sur la Planète. Enfin, j'utilise régulièrement mon skate et mon vélo pour faire mes trajets quotidien ( bon... aussi parce que je n'ai pas mon permis je l'avoue :) ).
- Studio Rivage, c'est quoi pour toi ?
Studio Rivage témoigne pour moi que l'on peut rider avec style, en faisant attention aux autres et à la Planète. Studio Rivage représente l'engagement social et environnemental que le rider se doit de tenir. No Planet, no Playground :)
- Ton print favori ?
J'aime beaucoup le print Island Girl. Il est super joli et dégage une si belle vibe.
- Tes derniers coups de cœur musicaux ?
J'ai des goûts musicaux très variés. Pour une session de skate j'aime jongler entre un univers de rock folk, psychédélique, d'indie pop et de rap américain old-school. Ma playlist va tourner autour de Cage The Elephant, Mac DeMarco, Allah-Las, Beach Fossils, Dope Lemon, Agar Agar, Isaac Desilusion, Polo&Pan. Avant une session de surf, j'aime bien écouter une vibe plus douce et ensoleillée, à travers Ziggy Albert & Jack Johnson. La musique qui me fait vibrer pour la ride est "Avant Gardener" de Courtney Barnett.
- Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
Pas mal de projets devraient se concrétiser en cette fin d'année. J'ai quitté mon boulot fin octobre. S'en suit prochainement un trip au Portugal avec mon chéri. L'idée c'est d'améliorer mon surf et de skater toujours plus. Des projets vidéos arriveront aussi en fin d'année. J'ai pour projets de me concentrer davantage sur mon blog. Et j'ai également pour idée de créer un podcast sur les acteurs du changement.
- Et pour finir, quel est ton mantra pour rester lumineuse quoi qu'il arrive ?
J'ai beaucoup de mantras qui drivent ma vie, selon mon mood et mes ambitions. Mais en général, je dirai que mon mantra favoris est celui ci : n'attendez pas la chance, créez-la :)
Un grand merci à Anaïs pour cette interview inspirante ! Retrouvez ses aventures sur son blog Watershed et sur Instagram.
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